
Xavier Driencourt revient à l'ambassade d'Alger (photo : DR)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
FRANCE / ALGÉRIE. Nommé par décret du 22 avril 2017, Xavier Driencourt a pris, lundi 3 juillet 2017, ses fonctions d'ambassadeur de France en Algérie. Il succède à Bernard Emié, en poste depuis septembre 2014, parti diriger la DGSE (Direction générale de la sécurité extérieure).
Xavier Driencourt (63 ans) est un fin connaisseur de l'Algérie. Il a déjà été ambassadeur dans ce pays entre 2008 et 2012.
Diplômé de Sciences po Paris et sorti de l'Ena en 1979, il rejoint le ministère des Affaires étrangères où il se trouvera notamment en missions ponctuelles à Bagdad pendant la guerre entre l'Irak et l'Iran (1986 et 1988). En 1989, il devient Consul général à Sydney puis retourne à Paris deux ans plus tard au service du Chiffre. Nommé conseiller d'Alain Juppé au ministère des Affaires étrangères en 1991 il le suit en 1995 à Matignon. En 1998, il étrenne son premier poste d'Ambassadeur en Malaisie avant de revenir à Paris quatre ans plus tard comme directeur des affaires budgétaires et financières puis directeur des ressources humaines et de prendre en 2006 le poste de directeur général adjoint de l'administration. Après ses fonctions à Alger, il sera inspecteur général des Affaires étrangères jusqu'à sa nouvelle nomination à dans la capitale algérienne.
La France est présente en Algérie à travers son ambassade à Alger et ses consulats d'Alger et d'Annaba et d'Oran.
Xavier Driencourt (63 ans) est un fin connaisseur de l'Algérie. Il a déjà été ambassadeur dans ce pays entre 2008 et 2012.
Diplômé de Sciences po Paris et sorti de l'Ena en 1979, il rejoint le ministère des Affaires étrangères où il se trouvera notamment en missions ponctuelles à Bagdad pendant la guerre entre l'Irak et l'Iran (1986 et 1988). En 1989, il devient Consul général à Sydney puis retourne à Paris deux ans plus tard au service du Chiffre. Nommé conseiller d'Alain Juppé au ministère des Affaires étrangères en 1991 il le suit en 1995 à Matignon. En 1998, il étrenne son premier poste d'Ambassadeur en Malaisie avant de revenir à Paris quatre ans plus tard comme directeur des affaires budgétaires et financières puis directeur des ressources humaines et de prendre en 2006 le poste de directeur général adjoint de l'administration. Après ses fonctions à Alger, il sera inspecteur général des Affaires étrangères jusqu'à sa nouvelle nomination à dans la capitale algérienne.
La France est présente en Algérie à travers son ambassade à Alger et ses consulats d'Alger et d'Annaba et d'Oran.