
William Saurin et le pôle plats cuisinés de la Financière Turenne Lafayette trouvent repreneur (photo : DR)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
FRANCE. Le holding Financière Turenne Lafayette (FTL - 3 200 salariés) a trouvé repreneurs pour sa filiale William Saurin et son pôle plats cuisinés qui tombe dans l'assiette de Cofigeo et Arterris.
Cofigeo (140 M€ de chiffre d'affaires en 2016), qui détient Raynal & Roquelaure et Zapetti, et la coopérative de Castelnaudary Arterris (Conserves Larroque - 756 M€ de chiffre d'affaires) ont déposé une offre ferme de reprise et vont conserver les 950 emplois des cinq sites du pôle et se répartir les marques.
Dans l'escarcelle, outre William Saurin, se trouvent les marques Garbit, Petitjean, la Belle Chaurienne.
La chute de William Saurin et de la FTL a débuté au décès de son unique actionnaire Monique Piffaut avec la découverte de comptes maquillés et d'un trou de 350 M€. Dix-sept banques créancières avaient alors permis de maintenir en vie le groupe en injectant 50 M€ en décembre 2016 dans la holding. Déjà le pôle charcuterie (Madrange et Paul Prédault) a trouvé un repreneur avec la coopérative Cooperl et les pâtes fraîches Luison sont allées rejoindre Pastacorp (Lustucru et Rivoire & Carret)
Cofigeo (140 M€ de chiffre d'affaires en 2016), qui détient Raynal & Roquelaure et Zapetti, et la coopérative de Castelnaudary Arterris (Conserves Larroque - 756 M€ de chiffre d'affaires) ont déposé une offre ferme de reprise et vont conserver les 950 emplois des cinq sites du pôle et se répartir les marques.
Dans l'escarcelle, outre William Saurin, se trouvent les marques Garbit, Petitjean, la Belle Chaurienne.
La chute de William Saurin et de la FTL a débuté au décès de son unique actionnaire Monique Piffaut avec la découverte de comptes maquillés et d'un trou de 350 M€. Dix-sept banques créancières avaient alors permis de maintenir en vie le groupe en injectant 50 M€ en décembre 2016 dans la holding. Déjà le pôle charcuterie (Madrange et Paul Prédault) a trouvé un repreneur avec la coopérative Cooperl et les pâtes fraîches Luison sont allées rejoindre Pastacorp (Lustucru et Rivoire & Carret)