
L'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, un projet mort-né (perspective : JFA-artefactory)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
FRANCE. Le groupe Vinci a démenti, lundi 15 avril 2019 au soir par un bref communiqué, "l'existence de discussions avec l'État portant sur les indemnités de résiliation relatives au contrat de concession des aéroports du grand ouest".
La veille, Élisabeth Borne, ministre française des transports, avait indiqué que le groupe de BTP (43,5 mrds€ de chiffre d'affaires dont 1,6 mrd€ pour son activité de concessions aéroportuaires) réclamait "plusieurs centaines de millions d'euros" en compensation de l'abandon de la construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes en Bretagne. Vinci avait emporté l'appel d'offres en décembre 2010 et devait également en être le concessionnaire.
Parlant de "rumeurs parues dans la presse", la direction de Vinci affirme également ne pas "avoir formulé une quelconque demande d'indemnisation chiffrée" mais aussi de ne pas avoir "reçu de notifications de résiliation du contrat de concession, alors même que la décision unilatérale d'abandon du projet de Notre-Dames-des-Landes par l'État date de janvier 2018".
La veille, Élisabeth Borne, ministre française des transports, avait indiqué que le groupe de BTP (43,5 mrds€ de chiffre d'affaires dont 1,6 mrd€ pour son activité de concessions aéroportuaires) réclamait "plusieurs centaines de millions d'euros" en compensation de l'abandon de la construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes en Bretagne. Vinci avait emporté l'appel d'offres en décembre 2010 et devait également en être le concessionnaire.
Parlant de "rumeurs parues dans la presse", la direction de Vinci affirme également ne pas "avoir formulé une quelconque demande d'indemnisation chiffrée" mais aussi de ne pas avoir "reçu de notifications de résiliation du contrat de concession, alors même que la décision unilatérale d'abandon du projet de Notre-Dames-des-Landes par l'État date de janvier 2018".