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ISRAËL. Il fallait s'y attendre. Le Conseil de sécurité de l'Onu, réuni lundi 18 décembre 2017 à New York, a rejeté un projet de résolution invalidant toute décision unilatérale de modifier le statut de Jérusalem.
L'exercice du droit de veto de l'un de ses cinq membres, en l'occurrence les Etats-Unis, n'a pas permis d'aller jusqu'au bout de la démarche.
Présenté par l'Egypte, au nom de la Ligue des Etats arabes, ce projet de résolution visait à réaffirmer "clairement" le consensus international sur Jérusalem. Et était censé répondre à l'annonce du 6 décembre 2017 de Donald Trump sur la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël et sur son intention de transférer l'ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem.
Nikki R.Haley, représentante des Etats-Unis à l'Onu, a indiqué avoir eu recours au veto, "sans joie mais aussi sans hésitation". Selon elle, "ce sont les autres Etats Membres qui devraient être embarrassés aujourd'hui par leur vote... Ce qui dérange, c'est que les Etats-Unis ont eu le courage de reconnaître une réalité fondamentale, à savoir que Jérusalem est la capitale politique, administrative et spirituelle du peuple juif." Et d'ajouter : "les Etats-Unis ne se feront pas dicter par qui que ce soit l'emplacement de leur ambassade... Un processus de paix qui est entravé par la simple reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël n'est pas un processus de paix."
L'exercice du droit de veto de l'un de ses cinq membres, en l'occurrence les Etats-Unis, n'a pas permis d'aller jusqu'au bout de la démarche.
Présenté par l'Egypte, au nom de la Ligue des Etats arabes, ce projet de résolution visait à réaffirmer "clairement" le consensus international sur Jérusalem. Et était censé répondre à l'annonce du 6 décembre 2017 de Donald Trump sur la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël et sur son intention de transférer l'ambassade américaine de Tel Aviv à Jérusalem.
Nikki R.Haley, représentante des Etats-Unis à l'Onu, a indiqué avoir eu recours au veto, "sans joie mais aussi sans hésitation". Selon elle, "ce sont les autres Etats Membres qui devraient être embarrassés aujourd'hui par leur vote... Ce qui dérange, c'est que les Etats-Unis ont eu le courage de reconnaître une réalité fondamentale, à savoir que Jérusalem est la capitale politique, administrative et spirituelle du peuple juif." Et d'ajouter : "les Etats-Unis ne se feront pas dicter par qui que ce soit l'emplacement de leur ambassade... Un processus de paix qui est entravé par la simple reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël n'est pas un processus de paix."