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Mohamed Bairi, président de l'AC2A (photo AC2A)
ALGERIE. L’ Association des concessionnaires automobiles algériens (AC2A), l’Union professionnelle de l’industrie automobile et mécanique (UPIAM) et le Forum des chefs d’entreprise (FCE) soumettront prochainement une étude sur les conditions de l’avènement d’une industrie automobile en Algérie.
Le chiffre d’affaires annuel du marché de l’automobile s’élève, en Algérie, à 4 mds$ (2,76 mds€).
La décision gouvernementale de suppression du crédit automobile, prise dans le cadre de la Loi de finances complémentaire (LFC) du 29 juillet 2009, devrait cependant confirmer la tendance à la baisse (-10,5%) des importations de véhicules enregistrée au cours du premier semestre 2009 par rapport à la même période de 2008.
Mais les déclarations récentes du ministre de la PME PMI, annonçant la réintroduction du crédit à la consommation pour les produits fabriqués en Algérie, a sans doute incité les représentants des diverses marques étrangères à envisager sérieusement l’installation d’une industrie locale de fabrication de voitures de tourisme.
Cette annonce intervient après celle faite par le fonds d’investissement public d’Abou Dhabi, Aabar Investments , selon laquelle cinq marques allemandes (Man Ferrostaal , Daimler , Deutz, MTU et Rheinmetall ) se chargeraient de lancer la production de 10 000 automobiles par an sur les sites de Tiaret, au Sud-Ouest d’Alger, et de Oued Hamimine et Aïn Smara, dans la région de Constantine, à l’Est du pays.
Le Fonds d’investissement public d’Abou Dhabi détient 70% des actions de Man Ferrostaal et 9,5% de celles du groupe Daimler.
Lire aussi : Une nouvelle politique économique algérienne
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La décision gouvernementale de suppression du crédit automobile, prise dans le cadre de la Loi de finances complémentaire (LFC) du 29 juillet 2009, devrait cependant confirmer la tendance à la baisse (-10,5%) des importations de véhicules enregistrée au cours du premier semestre 2009 par rapport à la même période de 2008.
Mais les déclarations récentes du ministre de la PME PMI, annonçant la réintroduction du crédit à la consommation pour les produits fabriqués en Algérie, a sans doute incité les représentants des diverses marques étrangères à envisager sérieusement l’installation d’une industrie locale de fabrication de voitures de tourisme.
Cette annonce intervient après celle faite par le fonds d’investissement public d’Abou Dhabi, Aabar Investments , selon laquelle cinq marques allemandes (Man Ferrostaal , Daimler , Deutz, MTU et Rheinmetall ) se chargeraient de lancer la production de 10 000 automobiles par an sur les sites de Tiaret, au Sud-Ouest d’Alger, et de Oued Hamimine et Aïn Smara, dans la région de Constantine, à l’Est du pays.
Le Fonds d’investissement public d’Abou Dhabi détient 70% des actions de Man Ferrostaal et 9,5% de celles du groupe Daimler.
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