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La filiale du groupe dans l'Etat hébreu, Veolia Israël, avait cédé, en octobre 2010, ses 5% de parts dans le consortium chargé du Jerusalem Light Railway, à la société israélienne Egged.
Selon le porte-parole de la filiale israélienne, Yoni Yitzhak, ce retrait de Veolia du consortium n'a aucun lien avec de quelconques pressions politiques.
Le projet de tramway de Jérusalem est en effet très controversé, car la ligne doit s'étendre dans la partie arabe de la ville, à Jérusalem-Est, dont l'annexion par Israël n'est pas reconnue par la communauté internationale. Elle devrait, si elle va à son terme, relier ainsi des colonies israéliennes au centre-ville.
Menaces de boycott?
Certaines rumeurs établissent que Veolia se retire du marché à cause de menaces de boycott en provenance d'associations pro-palestiniennes. Récemment, le Tribunal d'opinion Russell pour la Palestine avait épinglé le groupe à ce sujet.
C'est le consortium City Pass qui a remporté le marché en 2004, réunissant côté israélien Assurances Harel, Polar investments et Ashtrom et côté français, Alstom et Veolia.