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L'Institut de la Méditerranée (IM) travaille actuellement à la création d'une « task force pour le climat » destinée à donner plus de visibilité et de lisibilité aux structures provençales opérant sur cette thématique. « Nous souhaitons que tous les acteurs locaux, collectivités, associations, entreprises s'engagent dans une dynamique partenariale » explique le président de l'IM, Henry Roux-Alezais. « Il existe pléthore d'intervenants. Nous devons travailler ensemble ».
Cette task force restera, au moins dans un premier temps, informelle. « L'essentiel ne réside pas dans la forme qu'elle prendra, mais dans son caractère opérationnel » ajoute Henry Roux-Alezais. « Elle nous permettra de répondre ensemble à des appels à projets européens, à développer des initiatives communes, à conduire des actions, à valoriser le territoire ».
Un objectifs ambitieux déjà poursuivi par d'autres structures dans le passé, mais qui s'est heurté aux égos et à la course à la subvention que se livrent beaucoup de structures de coopération. Henry Roux-Alezais annonce déjà « des retours très positifs ». Il espère une task force opérationnelle avant la fin de l'année 2018. « L'Institut de la Méditerranée y apportera son volet académique, mais n'a pas vocation à piloter cette task force. Il s'agira de travailler ensemble, sur un pied d'égalité, pas de tenter de réunir tout le monde derrière un leader ».
L'Institut de la Méditerranée travaille déjà avec d'autres structures de coopération : Énergies 2050 pour co-rédiger des rapports sur le climat, Anima pour le projet européen The Next Society. Avec Anima comme chef de file, The Next Society bénéficie d'un budget européen de 7,8 M€ pour développer l'innovation en Europe et dans les pays méditerranéens. « Nous apportons notre contribution à ce projet sous la forme de production de matière grise. Nos économistes regroupent les indicateurs des différents pays » explique le délégué général de l'Institut de la Méditerranée, Constantin Tsakas.
Cette task force restera, au moins dans un premier temps, informelle. « L'essentiel ne réside pas dans la forme qu'elle prendra, mais dans son caractère opérationnel » ajoute Henry Roux-Alezais. « Elle nous permettra de répondre ensemble à des appels à projets européens, à développer des initiatives communes, à conduire des actions, à valoriser le territoire ».
Un objectifs ambitieux déjà poursuivi par d'autres structures dans le passé, mais qui s'est heurté aux égos et à la course à la subvention que se livrent beaucoup de structures de coopération. Henry Roux-Alezais annonce déjà « des retours très positifs ». Il espère une task force opérationnelle avant la fin de l'année 2018. « L'Institut de la Méditerranée y apportera son volet académique, mais n'a pas vocation à piloter cette task force. Il s'agira de travailler ensemble, sur un pied d'égalité, pas de tenter de réunir tout le monde derrière un leader ».
L'Institut de la Méditerranée travaille déjà avec d'autres structures de coopération : Énergies 2050 pour co-rédiger des rapports sur le climat, Anima pour le projet européen The Next Society. Avec Anima comme chef de file, The Next Society bénéficie d'un budget européen de 7,8 M€ pour développer l'innovation en Europe et dans les pays méditerranéens. « Nous apportons notre contribution à ce projet sous la forme de production de matière grise. Nos économistes regroupent les indicateurs des différents pays » explique le délégué général de l'Institut de la Méditerranée, Constantin Tsakas.