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TUNISIE. La plate-forme technologique et de service OUIber.com a été lancée officiellement le 23 octobre 2017 en Tunisie. "Elle permet aux Tunisiens expatriés, aux touristes, aux voyageurs de réserver et commander à l’avance un véhicule avec chauffeur privé pour des transferts « porte à porte » vers les aéroports, les gares…, pour des déplacements réguliers, pour des courses et pour des accompagnements des personnes âgés, handicapées ou des enfants", précise Aya Gharbi, responsable commerciale SQLI Services et en charge du marketing de OUIber.
La société est co-dirigée par Anis ben Boubaker (cofondateur du projet) et Younes el Ghoul (responsable technique du projet), et soutenue par la technopole de la Manouba, près de Tunis. Elle s'appuie sur le prestataire informatique tunisien SQLI Services - dont Younes Elghoul est le directeur général - qui a développé la plate-forme logicielle et mobile et gère la maintenance et l'hébergement. OUIber se rémunère à hauteur de 10% sur les courses et espère un chiffre d'affaires en première année compris entre 60 000 et 75 000 dinars tunisiens (20,6 K€ à 25,7 K€).
Faute d'un nombre suffisant de chauffeurs pour l'instant (25 actuellement), OUIber ne couvre pas tout le territoire tunisien. "Le service est limité à Tunis, Monastir, Sousse et Kairouan avec principalement des transferts aéroports, ports et gares", souligne Aya Gharbi.
Outre le fait que leur modèle soit calqué directement sur ces deux entreprises, le choix d'un nom, contraction de ceux de Ouibus (marque commercial de la SNCF) et de Uber (plate-forme internationale de location de voiture de tourisme avec chauffeur), ne semble bizarrement poser aucun problème aux dirigeants de la nouvelle société. Ils soulignent qu'"aujourd'hui, tous les étudiants, journalistes, chefs d'entreprises...préfèrent utiliser le mot "uberisation des économies" que ceux d'"économie collaborative" ou "économie de partage"."
La société est co-dirigée par Anis ben Boubaker (cofondateur du projet) et Younes el Ghoul (responsable technique du projet), et soutenue par la technopole de la Manouba, près de Tunis. Elle s'appuie sur le prestataire informatique tunisien SQLI Services - dont Younes Elghoul est le directeur général - qui a développé la plate-forme logicielle et mobile et gère la maintenance et l'hébergement. OUIber se rémunère à hauteur de 10% sur les courses et espère un chiffre d'affaires en première année compris entre 60 000 et 75 000 dinars tunisiens (20,6 K€ à 25,7 K€).
Faute d'un nombre suffisant de chauffeurs pour l'instant (25 actuellement), OUIber ne couvre pas tout le territoire tunisien. "Le service est limité à Tunis, Monastir, Sousse et Kairouan avec principalement des transferts aéroports, ports et gares", souligne Aya Gharbi.
Outre le fait que leur modèle soit calqué directement sur ces deux entreprises, le choix d'un nom, contraction de ceux de Ouibus (marque commercial de la SNCF) et de Uber (plate-forme internationale de location de voiture de tourisme avec chauffeur), ne semble bizarrement poser aucun problème aux dirigeants de la nouvelle société. Ils soulignent qu'"aujourd'hui, tous les étudiants, journalistes, chefs d'entreprises...préfèrent utiliser le mot "uberisation des économies" que ceux d'"économie collaborative" ou "économie de partage"."