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FRANCE. Le conseil des ministres examine aujourd'hui (jeudi 8 février 2018) la loi de programmation militaire. Le texte prévoit une enveloppe de 300 mrd € pour la défense nationale d'ici 2025. Elle ne comprend pas les sommes allouées aux pensions des militaires.
En consacrant en 2025 2% du PIB de la France à ses armées, le gouvernement français entend remettre sa force de frappe à niveau, après des décennies de réductions budgétaires. La montée en puissance sera progressive avec un budget annuel qui augmentera de 1,7 mrd € par an jusqu'en 2023 puis de 3 mrds € par an les années suivantes.
Cet argent frais ira aux militaires, avec une augmentation de la masse salariale (6000 recrutements prévus dont 25% pour le renseignement), l'achat de petits équipements (treillis ignifugés, gilets pare-balles...) et un meilleur entretient du matériel existant. Il permettra également de moderniser les armements, notamment en accélérant la livraisons de blindés, de navires et d'avions ravitailleurs.
La dissuasion nucléaire n'est pas oubliée avec le lancement d'un programme de nouveaux sous-marin et de missiles air-sol. La France mettra en orbite des satellites de renseignement et achètera 8 avions de surveillance, des bateaux espions, des drones...
Hors des frontières de la France, les bases militaires bénéficieront de nouveaux moyens de formation des personnels alliés. Enfin, la recherche se verra allouer une enveloppe de 17 mrd € qui permettra aux industriels français de travailler sur de nouveaux systèmes d'armement et d'espionnage.
En consacrant en 2025 2% du PIB de la France à ses armées, le gouvernement français entend remettre sa force de frappe à niveau, après des décennies de réductions budgétaires. La montée en puissance sera progressive avec un budget annuel qui augmentera de 1,7 mrd € par an jusqu'en 2023 puis de 3 mrds € par an les années suivantes.
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