
Le séisme a touché l'ouest de la Turquie et les îles grecques du Dodécanèse (carte : AFAD)
Voir aussi
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Le champ gazier chypriote Aphrodite obtient des financements pour son premier forage
-
Le Premier ministre grec se dit prêt à "accueillir" l'armée turque
TURQUIE. Selon l'Autorité gouvernementale turque des situations de catastrophe (Afad), le séisme qui a frappé l'ouest du pays vendredi 30 octobre 2020 a causé 102 morts. L'institution recense également 1 026 blessés dont 143 se trouvent encore en soins à l'hôpital, selon un bilan dressé mardi 3 novembre 2020 au matin.
Deux enfants (4 et 14 ans) ont pu être sorti vivants des décombres, lundi 2 novembre 2020. Les travaux de recherche et de sauvetage se poursuivent encore dans cinq des dix-sept immeubles effondrés.
La succession de tremblements de terre (magnitude 6,6 au plus fort avec 1475 répliques) et de mini-tsunamis dans la région d'Izmir (mais qui a touché aussi l'archipel grec du Dodécanèse avec des dégâts beaucoup moins importants, mais deux morts) a détruit ou endommagé de nombreux bâtiments. Aujourd'hui quelque 5 000 personnes se trouvent abritées dans 3 569 tentes d'un campement de fortune. Une aide matériel de 30 000 livres turques (3 039 €) par ménage sera fournie par le gouvernement aux personnes qui ont tout perdu et n'ont pas les moyens de racheter leurs biens. Les propriétaires de maisons détruites recevront 13 000 livres turques ( 1317 €) et les locataires 5 000 livres turques (506 €).
Neuf entrepreneurs se trouveraient entre les mains de la police selon l'agence étatique Anadolu. Ils sont accusés d'avoir construits des immeubles à Izmir sans tenir compte des normes anti-sismiques en vigueur dans le pays.
Deux enfants (4 et 14 ans) ont pu être sorti vivants des décombres, lundi 2 novembre 2020. Les travaux de recherche et de sauvetage se poursuivent encore dans cinq des dix-sept immeubles effondrés.
La succession de tremblements de terre (magnitude 6,6 au plus fort avec 1475 répliques) et de mini-tsunamis dans la région d'Izmir (mais qui a touché aussi l'archipel grec du Dodécanèse avec des dégâts beaucoup moins importants, mais deux morts) a détruit ou endommagé de nombreux bâtiments. Aujourd'hui quelque 5 000 personnes se trouvent abritées dans 3 569 tentes d'un campement de fortune. Une aide matériel de 30 000 livres turques (3 039 €) par ménage sera fournie par le gouvernement aux personnes qui ont tout perdu et n'ont pas les moyens de racheter leurs biens. Les propriétaires de maisons détruites recevront 13 000 livres turques ( 1317 €) et les locataires 5 000 livres turques (506 €).
Neuf entrepreneurs se trouveraient entre les mains de la police selon l'agence étatique Anadolu. Ils sont accusés d'avoir construits des immeubles à Izmir sans tenir compte des normes anti-sismiques en vigueur dans le pays.