
Alep a été touché par des bombardements chimiques (photo : OSDH)
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SYRIE. Suite au lancement de roquettes contenant du chlore sur Alep, samedi 24 novembre 2018 au soir, les forces russes ont répliqué par des frappes aériennes en Syrie le lendemain. Selon les autorités syriennes, des "groupes terroristes" se trouvent à l'origine de ces bombardements à l'arme chimique depuis Idleb, au Nord-Ouest du pays. Une affirmation démentie par Naji Moustapha, porte-parole de la coalition dite "rebelle" qui s'oppose au président Bachar al-Assad.
Sana, l'agence officielle syrienne, évoque "107 cas de suffocation" alors que l'Observatoire syrien des droits de l'homme parle de quatre-vingt quatorze cas.
Les représailles russes ont touché plusieurs cibles dans une "zone démilitarisée" séparant les territoires contrôlés par le régime syrien de ceux encore détenus par les "rebelles" et les "jihadistes" depuis septembre 2018 après un accord signé entre la Russie et la Turquie, soutien des "rebelles".
Sana, l'agence officielle syrienne, évoque "107 cas de suffocation" alors que l'Observatoire syrien des droits de l'homme parle de quatre-vingt quatorze cas.
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