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L'étude contient des informations détaillées sur les impôts payés sur les salaires dans les pays de l’OCDE (photo : OCDE)
MONDE. Selon l'OCDE, en 2017, les travailleurs des pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques ont versé en moyenne un quart de leurs salaires bruts sous forme d'impôts.
Cette étude "Les impôts sur les salaires ", livrée jeudi 26 avril 2018, évalue à 25,5% le taux moyen net d'imposition des personnes physiques rassemblant l'impôt sur le revenu et les cotisations salariales de sécurité sociale minorées de toutes les prestations familiales perçues. Les moyennes varient cependant entre les pays de 7% au Chili à 40,5% en Belgique. En France, le ratio s'établit à 29,2%.
L'OCDE note une augmentation du taux moyen d'imposition des personnes physiques en 2017 dans vingt de ses trente-cinq pays membres. "Elles sont principalement dues à des hausses de salaires qui ont atténué les effets des abattements et des crédits d’impôt accordés", indique le document. Et une baisse dans treize pays.
La Turquie accuse, avec la République tchèque, la plus forte hausse (0,5%). Ce pays se distingue également par le taux moyen net d'imposition des personnes physiques (TMNIPP), applicable aux familles avec enfants comptant un seul apporteur de revenu, le plus élevé à 25,9%. Contre une moyenne OCDE de 14% en 2017.
Cette étude "Les impôts sur les salaires ", livrée jeudi 26 avril 2018, évalue à 25,5% le taux moyen net d'imposition des personnes physiques rassemblant l'impôt sur le revenu et les cotisations salariales de sécurité sociale minorées de toutes les prestations familiales perçues. Les moyennes varient cependant entre les pays de 7% au Chili à 40,5% en Belgique. En France, le ratio s'établit à 29,2%.
L'OCDE note une augmentation du taux moyen d'imposition des personnes physiques en 2017 dans vingt de ses trente-cinq pays membres. "Elles sont principalement dues à des hausses de salaires qui ont atténué les effets des abattements et des crédits d’impôt accordés", indique le document. Et une baisse dans treize pays.
La Turquie accuse, avec la République tchèque, la plus forte hausse (0,5%). Ce pays se distingue également par le taux moyen net d'imposition des personnes physiques (TMNIPP), applicable aux familles avec enfants comptant un seul apporteur de revenu, le plus élevé à 25,9%. Contre une moyenne OCDE de 14% en 2017.
Les prélèvements fiscaux sur les coûts de main d'oeuvre en baisse
Le coin fiscal moyen (montant total des impôts sur le coût du travail acquittés par les salariés et les employeurs, minoré des prestations familiales) le plus élevé pour les familles avec enfants comptant un seul apporteur de revenu se trouve en France avec 39,4% contre une moyenne OCDE de 26,1%.
Par contre, " les prélèvements fiscaux sur les coûts de main-d’œuvre pour le travailleur moyen ont diminué en 2017 pour la quatrième année consécutive, en raison d’un abaissement des cotisations patronales de sécurité sociale", relève le rapport.
Par contre, " les prélèvements fiscaux sur les coûts de main-d’œuvre pour le travailleur moyen ont diminué en 2017 pour la quatrième année consécutive, en raison d’un abaissement des cotisations patronales de sécurité sociale", relève le rapport.