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LIBYE. Le fonds souverain libyen ("The Libyan investment authority's) réclame 1 mrd$ (soit environ 792 M€) à la banque américaine, Goldman Sachs. Au cours d'une audience préliminaire tenue devant un tribunal londonien mardi 7 octobre 2014, il l'accuse, d'avoir "abusé de ses responsables inexpérimentés" sous le régime du colonel Kadhafi.
Fondé en 2006, le fonds libyen gère environ 60 mrds$ (environ 47 mrds€) d'actifs provenant des surplus liés principalement à l'exportation d'hydrocarbures.
En 2008, Goldman Sachs aurait conduit les responsables du fonds libyen à réaliser des "opérations financières complexes contraires à leur intérêt sur le marché des produits dérivés", conduisant à la perte de plus d'1 mrd$. "La banque a délibérément exploité la relation de confiance qu'elle avait établie avec nos collaborateurs", souligne le fonds souverain dans un communiqué.
Goldman Sachs réfute toutes ces accusations. L'imposante banque d'affaires voit son image ternie par un procès très médiatisé de deux jours en Angleterre, couplé à des investigations menées par le gendarme de la Bourse américaine, la SEC.
Fondé en 2006, le fonds libyen gère environ 60 mrds$ (environ 47 mrds€) d'actifs provenant des surplus liés principalement à l'exportation d'hydrocarbures.
En 2008, Goldman Sachs aurait conduit les responsables du fonds libyen à réaliser des "opérations financières complexes contraires à leur intérêt sur le marché des produits dérivés", conduisant à la perte de plus d'1 mrd$. "La banque a délibérément exploité la relation de confiance qu'elle avait établie avec nos collaborateurs", souligne le fonds souverain dans un communiqué.
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