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Christine Lagarde quittera ses fonctions au FMI le 12 septembre 2019 (photo : FMI)
UNION EUROPÉENNE. Les tractations ont débuté dans les coulisses du G7 réunissant les ministres des Finances (Chantilly 17 et 18 juillet 2019) pour proposer un candidat européen à la présidence du Fonds monétaire international (FMI). Paris, et particulièrement son ministre des Finances, se trouve à la manoeuvre. "Un processus a été retenu : l'idée est de parvenir à une candidature européenne de consensus qui soit solide et crédible et qui permette à l'Europe de continuer de diriger le FMI. La France coordonnera ces efforts, car je rappelle que je ne suis pas candidat", indique Bruno Le Maire. Tout en précisant, qu'un candidat devrait être désigné "d'ici la fin du mois de juillet."
Pour remplacer la Française Christine Lagarde, nommée à la tête de la Banque centrale européenne (BCE) - qui quittera officiellement ses fonctions au FMI le 12 septembre 2019 -, plusieurs noms circulent. Ceux de Nadia Calviño Santamaria (50 ans), la ministre espagnole de l'Economie et de Entreprises, du Portugais Mário Centeno (52 ans), président de l'Eurogroupe depuis janvier 2018, de son prédécesseur le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem (53 ans), du gouverneur de la Banque de Finlande Olli Rehn (57 ans), du Français Pierre Moscovici (62 ans), commissaire européen aux Affaires économiques et financières, à la fiscalité et à l'union douanière, du Canadien Mark Carney (54 ans), ex-gouverneur de la Banque du Canada et aujourd'hui gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Ce dernier a cependant peu de chances d'être choisi. Comme il est de coutume depuis les accords de Bretton Woods - qui ont mis en place le FMI et la Banque mondiale - les postes sont partagés entre le continent européen et le continent américain. Le président de la Banque mondiale étant l'Américain David Malpass, nommé en avril 2019, et le président du FMI ayant toujours été issu du Vieux Continent depuis sa création en 1944, son (sa) futur (e) président (e) donc forcément européen (ne).
Pour remplacer la Française Christine Lagarde, nommée à la tête de la Banque centrale européenne (BCE) - qui quittera officiellement ses fonctions au FMI le 12 septembre 2019 -, plusieurs noms circulent. Ceux de Nadia Calviño Santamaria (50 ans), la ministre espagnole de l'Economie et de Entreprises, du Portugais Mário Centeno (52 ans), président de l'Eurogroupe depuis janvier 2018, de son prédécesseur le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem (53 ans), du gouverneur de la Banque de Finlande Olli Rehn (57 ans), du Français Pierre Moscovici (62 ans), commissaire européen aux Affaires économiques et financières, à la fiscalité et à l'union douanière, du Canadien Mark Carney (54 ans), ex-gouverneur de la Banque du Canada et aujourd'hui gouverneur de la Banque d'Angleterre.
Ce dernier a cependant peu de chances d'être choisi. Comme il est de coutume depuis les accords de Bretton Woods - qui ont mis en place le FMI et la Banque mondiale - les postes sont partagés entre le continent européen et le continent américain. Le président de la Banque mondiale étant l'Américain David Malpass, nommé en avril 2019, et le président du FMI ayant toujours été issu du Vieux Continent depuis sa création en 1944, son (sa) futur (e) président (e) donc forcément européen (ne).