Industries
Partager
Voir aussi
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
L’Égyptienne Abou Ghaly Motors va se doter de 250 taxis électriques
-
Eni acquiert les activités de BP en Algérie
-
Abdoulaye Bathily devient le nouvel envoyé spécial du secrétaire général de l'Onu en Libye
-
Europlasma s'engage dans le traitement en France des déchets d'amiante algériens
ALGERIE. L’association Sonatrach-Hess-Petronas opérant sur le gisement Bir El M’sana (BMS) et le groupe Hyundai ont signé le 8 septembre 2011 à Alger un contrat de près de 167M$ (121 M€).
Le contrat entre les compagnies algérienne, américaine et malaise avec le groupe sud-coréen prévoit la réalisation d’installations industrielles pour le développement du gisement BMS .
Il porte notamment sur la réalisation d’une unité de production de pétrole brut d’une capacité de 12 000 barils par jour, d’un pipeline d’une longueur de 25 km, d’une unité d’expédition de pétrole brut vers le réseau de canalisation de Sonatrach et d’une base industrielle.
Selon Noreddine Cherouati, PDG de Sonatrach cité par l’agence APS, la mise en exploitation du gisement BMS prévue en 2014 devrait contribuer à l’augmentation de la production nationale de pétrole et permettra même "de combler certains gisements en déclin".
Noreddine Cherouati a rappelé que le gisement de Hassi Messaoud qui constitue la plus grosse part de la production pétrolière de l’Algérie "n’est pas en déclin" Et que "la baisse de production n’a touché que certains gisements beaucoup moins importants."
De type clé en main, ce contrat devra être réalisé en trente mois, alors que l’entrée en production du gisement BMS est prévue pour avril 2014.
En marge de la cérémonie de signature du contrat, Noreddine Cherouati a affirmé que la compagnie pétrolière reprendra ses activités en Libye dès que la situation reviendra à la normale.
"Nous avons un contrat avec la société libyenne National Oil Corporation (NOC) et ce contrat sera mené à terme", a indiqué le PDG de Sonatrach.
Le contrat entre les compagnies algérienne, américaine et malaise avec le groupe sud-coréen prévoit la réalisation d’installations industrielles pour le développement du gisement BMS .
Il porte notamment sur la réalisation d’une unité de production de pétrole brut d’une capacité de 12 000 barils par jour, d’un pipeline d’une longueur de 25 km, d’une unité d’expédition de pétrole brut vers le réseau de canalisation de Sonatrach et d’une base industrielle.
Selon Noreddine Cherouati, PDG de Sonatrach cité par l’agence APS, la mise en exploitation du gisement BMS prévue en 2014 devrait contribuer à l’augmentation de la production nationale de pétrole et permettra même "de combler certains gisements en déclin".
Noreddine Cherouati a rappelé que le gisement de Hassi Messaoud qui constitue la plus grosse part de la production pétrolière de l’Algérie "n’est pas en déclin" Et que "la baisse de production n’a touché que certains gisements beaucoup moins importants."
De type clé en main, ce contrat devra être réalisé en trente mois, alors que l’entrée en production du gisement BMS est prévue pour avril 2014.
En marge de la cérémonie de signature du contrat, Noreddine Cherouati a affirmé que la compagnie pétrolière reprendra ses activités en Libye dès que la situation reviendra à la normale.
"Nous avons un contrat avec la société libyenne National Oil Corporation (NOC) et ce contrat sera mené à terme", a indiqué le PDG de Sonatrach.
