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GRÈCE. Les députés des divers groupes politiques du Parlement européen ont exhorté, jeudi 27 avril 22017 à Bruxelles lors d'une session plénières de la commission Affaires économiques et monétaires, à une conclusion rapide des négociations sur le plan de sauvetage grec avec les créanciers internationaux. Ils mettent en avant pour appuyer cette demande "les souffrances endurées par les citoyens".
Selon Jeroen Dijsselbloem, président de l'Eurogroupe, la révision actuelle du plan sera conclue avant la fin du mois de mai 2017. Il s'en est "personnellement" porté garant. "Je donne mon engagement personnel au Parlement que nous allons arriver à un accord pour la Grèce en mai. Il faut que cela soit fait en mai !", insiste-t-il.
Pour Pierre Moscovici, membre de la Commission européenne, en charge des Affaires économiques et monétaires, "la Grèce est aujourd'hui à un tournant après un an et demi de programme de soutien à la stabilité, il est temps maintenant d'asseoir les progrès accomplis en Grèce et soutenir la reprise économique qui a commencé à émerger en 2016 qui attend la conclusion de la revue et donc d'assurer une sortie réussie du programme en 2018 comme prévu."
Un accord permettrait de débloquer une nouvelle tranche de prêt dans le cadre du troisième plan d'aide à la Grèce adopté en juillet 2015 pour trois ans et pour un montant total de 86 mrds€.
Selon Jeroen Dijsselbloem, "pour arriver à une solution, il est nécessaire d'avoir des allégements sur la dette. C'est mon avis et je crois qu'il est partagé au sein de l'Eurogroupe." C'est le préalable que réclame le Fonds monétaire international (FMI) avant de s'engager dans ce troisième plan d'aide.
Selon Jeroen Dijsselbloem, président de l'Eurogroupe, la révision actuelle du plan sera conclue avant la fin du mois de mai 2017. Il s'en est "personnellement" porté garant. "Je donne mon engagement personnel au Parlement que nous allons arriver à un accord pour la Grèce en mai. Il faut que cela soit fait en mai !", insiste-t-il.
Pour Pierre Moscovici, membre de la Commission européenne, en charge des Affaires économiques et monétaires, "la Grèce est aujourd'hui à un tournant après un an et demi de programme de soutien à la stabilité, il est temps maintenant d'asseoir les progrès accomplis en Grèce et soutenir la reprise économique qui a commencé à émerger en 2016 qui attend la conclusion de la revue et donc d'assurer une sortie réussie du programme en 2018 comme prévu."
Un accord permettrait de débloquer une nouvelle tranche de prêt dans le cadre du troisième plan d'aide à la Grèce adopté en juillet 2015 pour trois ans et pour un montant total de 86 mrds€.
Selon Jeroen Dijsselbloem, "pour arriver à une solution, il est nécessaire d'avoir des allégements sur la dette. C'est mon avis et je crois qu'il est partagé au sein de l'Eurogroupe." C'est le préalable que réclame le Fonds monétaire international (FMI) avant de s'engager dans ce troisième plan d'aide.