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Le ministère des finances à Tunis (photo DR)
TUNISIE. Le gouvernement tunisien a revu à la baisse ses prévisions de croissance pour 2009. Celles-ci passent de 5% à 4,5% sous l'effet de la crise financière mondiale, a indiqué le ministre des Finances Rachid Kechiche.
Le ministre a souligné que le recul de croissance attendu entraînerait une réduction des ressources fiscales et une aggravation du déficit budgétaire. La contraction des ressources fiscales pourrait être compensée par une réduction de la subvention des prix des hydrocarbures en cas de stabilisation des prix du pétrole à leur niveau actuel.
Il a aussi envisagé une prise en charge par l'Etat des cotisations patronales pour les entreprises menacées, le renforcement des crédits pour l'infrastructure de base et l'augmentation des salaires pour améliorer le pouvoir d'achat.
Le ministre a souligné que le recul de croissance attendu entraînerait une réduction des ressources fiscales et une aggravation du déficit budgétaire. La contraction des ressources fiscales pourrait être compensée par une réduction de la subvention des prix des hydrocarbures en cas de stabilisation des prix du pétrole à leur niveau actuel.
Il a aussi envisagé une prise en charge par l'Etat des cotisations patronales pour les entreprises menacées, le renforcement des crédits pour l'infrastructure de base et l'augmentation des salaires pour améliorer le pouvoir d'achat.