
Depuis le départ de Michel Sleiman en mai 2014, le Liban n'a plus de Président (photo Présidence de la République Libanaise)
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LIBAN. Et de trente. Comme les vingt-neuf fois précédentes, le Parlement libanais n'a pas réuni mercredi 21 octobre 2015 le quorum prévu par la constitution pour élire le Président.
Nabih Berri, président du Parlement, a convoqué une nouvelle session électorale le 11 novembre 2015. Mais il semble peu probable qu'elle débouche sur autre chose qu'un nouveau report.
La constitution libanaise prévoit la présence des deux tiers des députés lors de l'élection du président du pays. Or, les élus du Hezbollah et du Courant Patriotique Libre pratiquent la politique de la chaise vide pour paralyser les institutions. Seuls quarante-neuf députés sur 128 parlementaires siégeaient mercredi 21 octobre 2015.
Selon la Constitution libanaise, la présence d'au moins deux tiers des 128 parlementaires est nécessaire pour atteindre le quorum de l'élection.
L'ancien président Michel Sleimane a terminé son mandat le 25 mai 2014 et depuis son fauteuil reste vide.
Le système politique libanais repose sur le confessionnalisme. Il prévoit que le Président du pays doit être chrétien maronite, le président du Parlement musulman chiite et le Premier ministre musulman sunnite.
Trois factions s'opposent pour l'élection du Président. Alors que l'alliance du 14 mars soutient Samir Geagea (Forces Libanaises), le mouvement du 8 mars préfère Michel Aoun (Courant Patriotique Libre) et le Parti socialiste progressiste Henri Helou.
Nabih Berri, président du Parlement, a convoqué une nouvelle session électorale le 11 novembre 2015. Mais il semble peu probable qu'elle débouche sur autre chose qu'un nouveau report.
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