
Tunisair, la compagnie aérienne tunisienne, annonce dans un communiqué l'annulation de tous ses vols à destination de Benghazi jusqu'au 25 mai 2014 (photo CC-Get Gaming Now)
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LIBYE. La situation se complique en Libye. Après la fermeture des ambassades de l'Algérie et de l'Arabie Saoudite, ce sont les Émirats arabes unis qui closent temporairement leurs portes à Tripoli "pour des raisons de sécurité''.
Car les affrontements entre une force paramilitaire menée par le général Khalifa Haftar et des groupes islamistes s’amplifient à Benghazi (dans le nord-est du pays) et à Tripoli.
Face à cette situation, l'armée libyenne régulière déclarait, le 17 mai 2014, Benghazi "zone d'exclusion militaire", menaçant "d'abattre tout avion militaire survolant la zone". En réaction, Tunisair, la compagnie aérienne tunisienne, annonce dans un communiqué l'annulation de tous ses vols à destination de Benghazi jusqu'au 25 mai 2014.
Par ailleurs, le gouvernement libyen propose la "mise en congé" du Parlement, le Conseil général national, afin de tenter de trouver des solutions à la crise.
Selon TSA Algérie, le groupe Sonatrach aurait "décidé de rapatrier ses employés en Libye et de suspendre ses activités dans ce pays pour des raisons de sécurité" et l'Algérie aurait fermé temporairement sa frontière terrestre avec le pays selon Afriquinfos.
Car les affrontements entre une force paramilitaire menée par le général Khalifa Haftar et des groupes islamistes s’amplifient à Benghazi (dans le nord-est du pays) et à Tripoli.
Face à cette situation, l'armée libyenne régulière déclarait, le 17 mai 2014, Benghazi "zone d'exclusion militaire", menaçant "d'abattre tout avion militaire survolant la zone". En réaction, Tunisair, la compagnie aérienne tunisienne, annonce dans un communiqué l'annulation de tous ses vols à destination de Benghazi jusqu'au 25 mai 2014.
Par ailleurs, le gouvernement libyen propose la "mise en congé" du Parlement, le Conseil général national, afin de tenter de trouver des solutions à la crise.
Selon TSA Algérie, le groupe Sonatrach aurait "décidé de rapatrier ses employés en Libye et de suspendre ses activités dans ce pays pour des raisons de sécurité" et l'Algérie aurait fermé temporairement sa frontière terrestre avec le pays selon Afriquinfos.