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FRANCE. Le groupe pétrolier Total supprimera en deux fois 555 emplois en France d'ici à 2012, dont 383 sur ses usines de Gonfreville L'Orcher et Notre-Dame de Gravenchon près du Havre (ouest). Cette dernière sera fermée.
L'annonce a suscité de vives réactions à l'encontre du pétrolier qui, en 2008, a réalisé le plus gros profit jamais réalisé par un groupe français, à 13,9 mds€, en hausse de 14% sur un an (lire: Total réalise un bénéfice net record en 2008).
"Qu’un groupe comme Total qui fait plusieurs milliards de bénéfice ne soit pas capable dans cette période d’avoir un comportement exemplaire en terme d’emplois me reste en travers de la gorge", a commenté hier, mardi 10 mars 2009, le secrétaire d'Etat à l'Emploi français Laurent Wauquiez.
Les deux plans sociaux visent à consolider l'activité pétrochimique du groupe et adapter le raffinage en France. Ils s'accompagnent d'investissements qui se montent à 1 md€ sur les sites havrais, 770 M€ dans le raffinage et 230 M€ dans la chimie, souligne Total.
L'annonce a suscité de vives réactions à l'encontre du pétrolier qui, en 2008, a réalisé le plus gros profit jamais réalisé par un groupe français, à 13,9 mds€, en hausse de 14% sur un an (lire: Total réalise un bénéfice net record en 2008).
"Qu’un groupe comme Total qui fait plusieurs milliards de bénéfice ne soit pas capable dans cette période d’avoir un comportement exemplaire en terme d’emplois me reste en travers de la gorge", a commenté hier, mardi 10 mars 2009, le secrétaire d'Etat à l'Emploi français Laurent Wauquiez.
Les deux plans sociaux visent à consolider l'activité pétrochimique du groupe et adapter le raffinage en France. Ils s'accompagnent d'investissements qui se montent à 1 md€ sur les sites havrais, 770 M€ dans le raffinage et 230 M€ dans la chimie, souligne Total.