
Total profite des difficultés de certaines compagnies nées de la chute du prix du baril pour réaliser des croissances externes. Photo Total.
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FRANCE. Total a le vent en poupe. Début juillet, le géant français devenait le premier pétrolier occidental à reprendre pied en Iran. À la tête d'un consortium international qu'il contrôle à 51%, il signait un contrat de 4,8 mrds $ pour assurer le développement pendant 20 ans de la phase 11 de Pars-Sud. La production du champ gazier est estimée à 370 000 barils équivalent pétrole par jour.
Le 21 août, c'est cette fois un rachat qu'annonce Total. Dans un communiqué de presse, Total précise que « l’accord prévoit que A.P. Møller – Mærsk recevra l’équivalent de 4,95 milliards de dollars en actions Total et que Total reprendra à son compte 2,5 milliards de dollars de dette de Maersk Oil. Total émettra 97,5 millions d’actions Total destinées à A.P. Møller – Mærsk A/S , sur la base d’un prix égal à la moyenne des cours cotés des vingt séances de bourse ayant précédé le 21 août (date de signature), ce qui représentera 3.75 % du capital social élargi de Total ».
Pour la coquette somme de 7,45 mrds $, le groupe pétrolier rachète donc le danois Maersk Oil & Gaz. Une fois bouclée début 2018, il s'agira de la plus grosse acquisition de Total depuis sa fusion avec Elf en 1999. Maersk Oil & Gaz va permettre à Total d'augmenter ses réserves de pétrole de 10% soit un milliard de barils et de produire 3 millions de barils jour d'ici 2020.
« L’intégration des activités de Maersk Oil fera de Total le second opérateur en Mer du Nord, bénéficiant de positions majeures au Royaume-Uni, en Norvège et au Danemark, et augmentera la part d’actifs OCDE conventionnels dans notre portefeuille » explique Patrick Pouyanné, Président-directeur général de Total . « La combinaison des activités internationales très complémentaires de Total et de Maersk Oil dans le Golfe du Mexique aux États-Unis, en Algérie, en Afrique de l’Est, au Kazakhstan et en Angola créera également de la valeur au travers de synergies commerciales, opérationnelles et financières »
Avec près de 100 000 salariés, Total génère un chiffre d'affaires (2016) de 149,7 mrds $ dans 130 pays.
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Pour la coquette somme de 7,45 mrds $, le groupe pétrolier rachète donc le danois Maersk Oil & Gaz. Une fois bouclée début 2018, il s'agira de la plus grosse acquisition de Total depuis sa fusion avec Elf en 1999. Maersk Oil & Gaz va permettre à Total d'augmenter ses réserves de pétrole de 10% soit un milliard de barils et de produire 3 millions de barils jour d'ici 2020.
« L’intégration des activités de Maersk Oil fera de Total le second opérateur en Mer du Nord, bénéficiant de positions majeures au Royaume-Uni, en Norvège et au Danemark, et augmentera la part d’actifs OCDE conventionnels dans notre portefeuille » explique Patrick Pouyanné, Président-directeur général de Total . « La combinaison des activités internationales très complémentaires de Total et de Maersk Oil dans le Golfe du Mexique aux États-Unis, en Algérie, en Afrique de l’Est, au Kazakhstan et en Angola créera également de la valeur au travers de synergies commerciales, opérationnelles et financières »
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