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FRANCE. La chute de -40% du prix du baril a fortement impacté les comptes de Total en 2015. Le groupe français affiche un chiffre d'affaires consolidé de 165,4 mrds $, en recul de 30%, pour un résultat net ajusté de 10,5 mrds de $, lui aussi en baisse (-18%). La rentabilité des activités raffinages/chimie (+96%) et marketing/services (+35%) est plombée par la dégradation des activités « amonts », beaucoup moins rentables (-55%) qu'en 2014. Patrick Pouyanné, PDG de Total,affirme que son groupe réalise en 2015 « la meilleure performance parmi les majors ».
Total a serré tous les boulons en 2015. « Le programme de réduction des coûts a permis d'économiser 1,5 mrds de $ » se félicite Patrick Pouyanné. La cure d'austérité se poursuivra en 2016 avec en prévision 2,4 mrds $ d'économies et 4 mrds $ de cessions d'actifs. Les investissements pâtissent de la mauvaise conjoncture. Après une réduction de 15% en 2015, ils vont encore être fortement réduits en 2016.
Au final, Total SA arrive, en grande partie grâce à ses cessions, à présenter un bénéfice de 11 mrds € en croissance de 83% par rapport à 2014.
Total a serré tous les boulons en 2015. « Le programme de réduction des coûts a permis d'économiser 1,5 mrds de $ » se félicite Patrick Pouyanné. La cure d'austérité se poursuivra en 2016 avec en prévision 2,4 mrds $ d'économies et 4 mrds $ de cessions d'actifs. Les investissements pâtissent de la mauvaise conjoncture. Après une réduction de 15% en 2015, ils vont encore être fortement réduits en 2016.
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