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MAROC. Après un appel d'offres international, la Communauté urbaine de Casablanca a désigné Sita Blanca, filiale du français Suez Environnement (14,6 mrds€ de chiffre d'affaires en 2013), pour la gestion de ses services de propreté urbaine.
D'une durée de sept ans et d'un montant de 187 M€, le contrat couvre la collecte des déchets et le nettoiement de quatre préfectures (Casablanca Anfa, Al Fida Mers Sultan, Moulay Rachid et Ben M'Sick) représentant neuf arrondissements et la municipalité du Mechouar soit 1,5 million d'habitants produisant 485 085 tonnes de déchets par an.
D'une durée de sept ans et d'un montant de 187 M€, le contrat couvre la collecte des déchets et le nettoiement de quatre préfectures (Casablanca Anfa, Al Fida Mers Sultan, Moulay Rachid et Ben M'Sick) représentant neuf arrondissements et la municipalité du Mechouar soit 1,5 million d'habitants produisant 485 085 tonnes de déchets par an.
La Sita,qui gère depuis 2004 les services de propreté de cinq arrondissements, dont le centre-ville historique, de Casablanca, va investir 21 M€ sur ce nouveau contrat. La société se dotera notamment d'un parc de 109 véhicules de collecte et de 28 de nettoiement ainsi que des tricycles à assistance électrique pour améliorer les conditions de travail des équipes de balayage manuel. Les camions seront équipés d'un système de géolocalisation et d'outils informatiques déployés pour le suivi de la prestation et du matériel.
Le contrat comporte également un volet social, "à la fois interne, par l'intégration et la formation de 2 200 employés, mais aussi externe par la prise en compte des chiffonniers et récupérateurs dans notre organisation de collecte" comme le précise François Pyrek, directeur général de Sita au Maroc.
Lire aussi :Suez environnement emporte un contrat de 90 M€ au Maroc
Le contrat comporte également un volet social, "à la fois interne, par l'intégration et la formation de 2 200 employés, mais aussi externe par la prise en compte des chiffonniers et récupérateurs dans notre organisation de collecte" comme le précise François Pyrek, directeur général de Sita au Maroc.
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