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SYRIE / RUSSIE. C'est une énième réunion pour la paix en Syrie qui débute mardi 30 janvier 2018. Elle a pour décor Sotchi à l'initiative des autorités russes, quelques jours après une autre conférence, celle de Vienne, organisée par l'Onu.
Dans la station balnéaire russe, le "Congrès du dialogue national syrien" va tenter de mettre tout le monde d'accord sur l'avenir de la Syrie. La Russie, l'Iran et la Turquie veulent peser de tout leur poids pour trouver une solution qui passera par une nouvelle constitution.
Reste que les absences sont de taille. Le Comité des négociations syriennes (CNS), né du regroupement des principaux groupes d'opposition à Bachar al-Assad, a refusé de venir à Sotchi comme il l'avait prédit en cas d'échec des discussions en Autriche. Et ce fut le cas. Les Kurdes ont suivi leur exemple pour protester contre la nouvelle offensive turque contre eux.
Le gouvernement syrien n'est pas non plus représenté directement. Seuls des membres du parti Baas, au pouvoir, les alliés de Bachar al-Assad et une frange de l'opposition tolérée par le régime assisteront à la conférence russe. " Entre 1 500 et 1 600 personnes sont attendues sur plus de 1 600 invitations lancées", assure pourtant Alexandre Lavrentiev, représentant spécial du Kremlin pour la Syrie, à l'agence russe Tass. 500 journalistes y participeront aussi selon l'agence de presse syrienne Sana.
France et États-Unis n'enverront pas de délégations, les deux pays préférant concentrer leurs efforts sur les réunions sous l'égide de l'Onu qui se déroulent habituellement à Genève. Et surtout qui accueillent l'ensemble des belligérants. Par contre, Staffan de Mistura, l'émissaire des Nations Unies pour la Syrie, viendra à Sotchi en observateur ainsi que des représentants de l'Égypte, du Liban, de l'Irak et du Kazakhstan.
Dans la station balnéaire russe, le "Congrès du dialogue national syrien" va tenter de mettre tout le monde d'accord sur l'avenir de la Syrie. La Russie, l'Iran et la Turquie veulent peser de tout leur poids pour trouver une solution qui passera par une nouvelle constitution.
Reste que les absences sont de taille. Le Comité des négociations syriennes (CNS), né du regroupement des principaux groupes d'opposition à Bachar al-Assad, a refusé de venir à Sotchi comme il l'avait prédit en cas d'échec des discussions en Autriche. Et ce fut le cas. Les Kurdes ont suivi leur exemple pour protester contre la nouvelle offensive turque contre eux.
Le gouvernement syrien n'est pas non plus représenté directement. Seuls des membres du parti Baas, au pouvoir, les alliés de Bachar al-Assad et une frange de l'opposition tolérée par le régime assisteront à la conférence russe. " Entre 1 500 et 1 600 personnes sont attendues sur plus de 1 600 invitations lancées", assure pourtant Alexandre Lavrentiev, représentant spécial du Kremlin pour la Syrie, à l'agence russe Tass. 500 journalistes y participeront aussi selon l'agence de presse syrienne Sana.
France et États-Unis n'enverront pas de délégations, les deux pays préférant concentrer leurs efforts sur les réunions sous l'égide de l'Onu qui se déroulent habituellement à Genève. Et surtout qui accueillent l'ensemble des belligérants. Par contre, Staffan de Mistura, l'émissaire des Nations Unies pour la Syrie, viendra à Sotchi en observateur ainsi que des représentants de l'Égypte, du Liban, de l'Irak et du Kazakhstan.