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Le programme Desertec vise à construire un réseau de transport d'électricité entre la région Mena et l'Europe (photo DII)
ALGÉRIE. La société algérienne de l’électricité et du gaz Sonelgaz et l’initiative industrielle Dii (Desertec Industrial Initiative ) ont signé, le 9 décembre 2011 à Bruxelles, un accord portant sur leur future collaboration.
Ce "partenariat stratégique" permettra le renforcement des échanges d’expertise technique, l’examen des voies et moyens pour l’accès aux marchés extérieurs et la promotion commune du développement des énergies renouvelables en Algérie et à l’international, selon le communiqué de Sonelgaz.
La signature a eu lieu en présence du Commissaire Européen chargé de l'énergie, Günther Oettinger et du ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Youcef Yousfi.
Les deux parties encourageront par leurs activités les coopérations industrielles en matière de R&D dans les domaines de la fabrication, de l’installation et de l’exploitation des énergies renouvelables, poursuit le communiqué.
La transition énergétique - passage du fossile au renouvelable - en Algérie nécessitera plusieurs dizaines de milliards de dollars.
A l'échelle mondiale, les investissements nécessaires dans ce secteur pour les vingt prochaines années sont de 38 000 mrds $ selon les experts.
Le programme de l'Algérie "consiste à installer une puissance d'origine renouvelable de près de 22.000 MW entre 2011 et 2030 dont 10.000 MW pourraient être dédiés à l'exportation si les conditions s'y prêtent", avait indiqué Youcef Yousfi le 22 novembre 2011.
Ce "partenariat stratégique" permettra le renforcement des échanges d’expertise technique, l’examen des voies et moyens pour l’accès aux marchés extérieurs et la promotion commune du développement des énergies renouvelables en Algérie et à l’international, selon le communiqué de Sonelgaz.
La signature a eu lieu en présence du Commissaire Européen chargé de l'énergie, Günther Oettinger et du ministre algérien de l’Énergie et des Mines, Youcef Yousfi.
Les deux parties encourageront par leurs activités les coopérations industrielles en matière de R&D dans les domaines de la fabrication, de l’installation et de l’exploitation des énergies renouvelables, poursuit le communiqué.
La transition énergétique - passage du fossile au renouvelable - en Algérie nécessitera plusieurs dizaines de milliards de dollars.
A l'échelle mondiale, les investissements nécessaires dans ce secteur pour les vingt prochaines années sont de 38 000 mrds $ selon les experts.
Le programme de l'Algérie "consiste à installer une puissance d'origine renouvelable de près de 22.000 MW entre 2011 et 2030 dont 10.000 MW pourraient être dédiés à l'exportation si les conditions s'y prêtent", avait indiqué Youcef Yousfi le 22 novembre 2011.