Voir aussi
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
-
Malte va recevoir 817 M€ de l'UE pour verdir et numériser son économie
-
La Commission européenne réclame une intervention d'urgence sur les marchés de l'énergie

La production est en hausse en 2014(photo SH)
ALGÉRIE. Le groupe public algérien Sonatrach devrait réaliser des recettes de l'ordre de 60 mrds$ (47 mrds€) en 2014, a affirmé le 13 octobre 2014 à la radio chaîne III, son Pdg par intérim, Saïd Sahnoune.
Les recettes "doivent rester autour de 60 milliards de dollars sous réserve (…) que la stabilisation des prix (de pétrole) intervienne", a déclaré le patron de la Sonatrach.
"Sur les neuf premiers mois de 2014, nous avons produit 5% de plus par rapport à ce qui a été produit en 2013. Depuis trois ou quatre années, c’est la première fois que nous arrivons à opérer une inversion de la tendance", a indiqué Saïd Sahnoune. Il estime que l’entreprise qu’il dirige à toutes les chances de continuer à augmenter sa production. Cette hausse concernerait davantage le gaz que les liquides (pétrole) plus chers mais dont les prix sont en chute. Ces deux facteurs expliqueraient la faiblesse du chiffre annoncé par rapport au résultat 2013.
Les recettes des exportations des hydrocarbures s'étaient contractées en 2013 de 10,2% en s’établissant à 63,3 mrds$ (49,8 mrds€) contre 70,5 mrds$ (55,5 mrds€) en 2012, selon un rapport de la Banque d’Algérie publié en février 2014.
Les recettes "doivent rester autour de 60 milliards de dollars sous réserve (…) que la stabilisation des prix (de pétrole) intervienne", a déclaré le patron de la Sonatrach.
"Sur les neuf premiers mois de 2014, nous avons produit 5% de plus par rapport à ce qui a été produit en 2013. Depuis trois ou quatre années, c’est la première fois que nous arrivons à opérer une inversion de la tendance", a indiqué Saïd Sahnoune. Il estime que l’entreprise qu’il dirige à toutes les chances de continuer à augmenter sa production. Cette hausse concernerait davantage le gaz que les liquides (pétrole) plus chers mais dont les prix sont en chute. Ces deux facteurs expliqueraient la faiblesse du chiffre annoncé par rapport au résultat 2013.
Les recettes des exportations des hydrocarbures s'étaient contractées en 2013 de 10,2% en s’établissant à 63,3 mrds$ (49,8 mrds€) contre 70,5 mrds$ (55,5 mrds€) en 2012, selon un rapport de la Banque d’Algérie publié en février 2014.