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ALGÉRIE / FRANCE. Le groupe pétrolier public algérien Sonatrach a résilié début juin 2015 le contrat conclu en décembre 2010 avec le groupe d’ingénierie français Technip.
Ce contrat portait sur la réhabilitation en trente-huit mois de la raffinerie de Sidi Arcine située dans la banlieue sud-est d’Alger.
Pour 963 M$ (846 M€), Technip devait partiellement réhabiliter la raffinerie construite en 1964 afin d’accroître de 35% sa capacité de production et de mettre ce carburant aux normes internationales.
Considérant que les termes du contrat n’avaient pas été respectés, Sonatrach a résilié le contrat et transmis le dossier à l’arbitrage international.
Le groupe public entend demander des dédommagements.
Technip affirme pour sa part avoir constaté, après signature du contrat, que les canalisations de la raffinerie ne devaient pas être simplement réhabilitées, mais totalement refaites.
Selon une source proche du dossier se confiant à econostrum.info, le projet était "entamé à un peu moins de 75% dans sa globalité et la partie construction à moins de 50%."
Ce contrat portait sur la réhabilitation en trente-huit mois de la raffinerie de Sidi Arcine située dans la banlieue sud-est d’Alger.
Pour 963 M$ (846 M€), Technip devait partiellement réhabiliter la raffinerie construite en 1964 afin d’accroître de 35% sa capacité de production et de mettre ce carburant aux normes internationales.
Considérant que les termes du contrat n’avaient pas été respectés, Sonatrach a résilié le contrat et transmis le dossier à l’arbitrage international.
Le groupe public entend demander des dédommagements.
Technip affirme pour sa part avoir constaté, après signature du contrat, que les canalisations de la raffinerie ne devaient pas être simplement réhabilitées, mais totalement refaites.
Selon une source proche du dossier se confiant à econostrum.info, le projet était "entamé à un peu moins de 75% dans sa globalité et la partie construction à moins de 50%."