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Sonatrach investira dans la prévention, la sécurité et la protection de l’environnement(photo SH)
ALGÉRIE. Le ministre algérien de l’Énergie, Youcef Yousfi, a annoncé que le groupe pétrolier public Sonatrach investira à moyen terme 91 mrds de dinars algériens (870 M€) dans la prévention, la sécurité et la protection de l’environnement et 120 millions de dinars (12 M€) que dans le traitement des déchets industriels, liquides et détritus de forages.
L'Autorité de régulation des hydrocarbures suit de près les études d'impact sur l'environnement et oblige les compagnies travaillant dans ce secteur à prendre les mesures préventives et veiller à la gestion des risques environnementaux liés aux activités de forage, a affirmé Youcef Yousfi.
La question de la dégradation de l’environnement devient de plus en plus sensible en Algérie du fait de la pollution pétrolière dans certaines zones de production et d’exportation (Ouargla, ports pétroliers…) et des peurs suscitées par la perspective d’extraction des gaz de schistes.
L'Autorité de régulation des hydrocarbures suit de près les études d'impact sur l'environnement et oblige les compagnies travaillant dans ce secteur à prendre les mesures préventives et veiller à la gestion des risques environnementaux liés aux activités de forage, a affirmé Youcef Yousfi.
La question de la dégradation de l’environnement devient de plus en plus sensible en Algérie du fait de la pollution pétrolière dans certaines zones de production et d’exportation (Ouargla, ports pétroliers…) et des peurs suscitées par la perspective d’extraction des gaz de schistes.
Sonatrach a déjà investi dans la réduction des gaz torchés, ce qui a permis, selon le groupe, de ramener le ratio gaz associés torchés sur gaz produit de 80% en 1970 à 7% en 2007.
Le groupe public procède par ailleurs, en partenariat avec British Petroleum et StatoilHydro, à la réinjection de CO2 dans le gisement d’In Salah afin d’en réduire les émissions dans l’atmosphère.
Le groupe public procède par ailleurs, en partenariat avec British Petroleum et StatoilHydro, à la réinjection de CO2 dans le gisement d’In Salah afin d’en réduire les émissions dans l’atmosphère.