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ALGERIE. Le groupe pétrolier public algérien entend profiter de la crise pour se renforcer. Sonatrach travaille ainsi à produire 120 000 barils/jour à partir des gisements qu’il développe à l’international.
Des négociations avec la compagnie vénézuélienne PDVSA ont été relancées récemment en vue d’une participation du groupe algérien à deux projets de Gaz Naturel Liquéfié au Venezuela.
Toujours au Venezuela, Sonatrach tente de s’associer à d’autres partenaires afin de développer les gisements de pétrole brut lourd de la région de l’Orénoque.
La compagnie publique algérienne cherche également à investir en Colombie, au Moyen-Orient et en Afrique.
Des négociations avec la compagnie vénézuélienne PDVSA ont été relancées récemment en vue d’une participation du groupe algérien à deux projets de Gaz Naturel Liquéfié au Venezuela.
Toujours au Venezuela, Sonatrach tente de s’associer à d’autres partenaires afin de développer les gisements de pétrole brut lourd de la région de l’Orénoque.
La compagnie publique algérienne cherche également à investir en Colombie, au Moyen-Orient et en Afrique.
Marchés possibles en Asie pour les fertilisants
Rappelons que le groupe est déjà présent en Egypte, au Pérou, en Libye, au Niger, en Tunisie, au Mali, en Mauritanie et dans divers pays du Sahel à travers le projet de gazoduc TSGP qui reliera le Nigéria à l’Europe.
La compagnie pense par ailleurs retirer 150 M$ (102 M€) par an des investissements que ses filiales à l’étranger ont consentis dans les services d’engineering et de construction.
Enfin, les mesures anti-dumping prises par l’UE à l’encontre des fertilisants algériens ne devraient pas, selon le PDG de Sonatrach, remettre en cause son programme d’investissement car il existe selon lui « une demande croissante en Amérique et en Asie ».
La compagnie pense par ailleurs retirer 150 M$ (102 M€) par an des investissements que ses filiales à l’étranger ont consentis dans les services d’engineering et de construction.
Enfin, les mesures anti-dumping prises par l’UE à l’encontre des fertilisants algériens ne devraient pas, selon le PDG de Sonatrach, remettre en cause son programme d’investissement car il existe selon lui « une demande croissante en Amérique et en Asie ».