
La biodiversité méditerranéenne se trouve confrontée à de nobreux défis (photo : F.Dubessy)
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MEDITERRANEE. Un protocole d'entente a été signé, vendredi 12 mars 2021 à Marseille, pour la création d'un Consortium méditerranéen pour la protection de la biodiversité. Il est porté sur les fonts baptismaux par six organisations internationales, principalement basées dans le département des Bouches-du-Rhône en France : MedWet (Initiative pour les zones humides méditerranéennes dans le cadre de la Convention de Ramsar- Basée à Arles), MedPan (Réseau des gestionnaires des aires marines protégées en Méditerranée - Marseille), PIM (Initiative pour les petites îles de Méditerranée - Marseille), La Tour du Valat (Institut de recherche pour la conservation des zones humides méditerranéennes - Arles), l'AIFM (Association internationale des forêts méditerranéennes - Marseille) et l'UICN-Med (Centre de coopération pour la Méditerranée de l'Union internationale pour la conservation de la nature - Malaga). Le Conservatoire du littoral (établissement public français membre de l'UICN) apportera son appui.
Réunissant toutes les expertises, le savoir-faire et les connaissances scientifiques de ces partenaires, le Consortium va travailler sur "les nouveaux objectifs de protection de la planète", comme l'indique un communiqué. Grâce à une vision régionale, il entend "développer des solutions innovantes permettant de répondre aux défis de la conservation de la biodiversité ainsi que promouvoir une plus grande efficacité dans l'utilisation des ressources naturelles en Méditerranée".
La vocation affichée est de "favoriser les échanges, de sensibiliser aux nouveaux défis méditerranéens, renforcer les capacités d'action en faveur de la biodiversité et de former les acteurs locaux à la bonne gouvernance de la gestion de la biodiversité".
Un premier projet conjoint portera sur les solutions basées sur la nature dans les zones côtières. Il sera cofinancé par l'Agence française de développement (AFD) et le Fonds français pour l'environnement mondial (FFEM).
Le consortium envisage également la création d'un groupe de réflexion ainsi que d'un réseau actif d'"alerte rouge". il permettra d'attirer l'attention des décideurs politiques et des bailleurs de fonds sur les projets affectant la biodiversité, afin de trouver des solutions pour prévenir ou atténuer les impacts.
Réunissant toutes les expertises, le savoir-faire et les connaissances scientifiques de ces partenaires, le Consortium va travailler sur "les nouveaux objectifs de protection de la planète", comme l'indique un communiqué. Grâce à une vision régionale, il entend "développer des solutions innovantes permettant de répondre aux défis de la conservation de la biodiversité ainsi que promouvoir une plus grande efficacité dans l'utilisation des ressources naturelles en Méditerranée".
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Le consortium envisage également la création d'un groupe de réflexion ainsi que d'un réseau actif d'"alerte rouge". il permettra d'attirer l'attention des décideurs politiques et des bailleurs de fonds sur les projets affectant la biodiversité, afin de trouver des solutions pour prévenir ou atténuer les impacts.