LIBYE. L'un des fils du colonel Mouammar Kadhafi se présentera à la future élection présidentielle en Libye. Organisée par les Nations unies, elle pourrait se tenir, théoriquement, le 30 septembre 2018 sous l'égide des Nations unies après avoir été repoussée car prévue en mars 2018 initialement.
Saïf al-Islam Kadhafi a fait connaître sa candidature, à Tunis lundi 19 mars 2018, via l'un de ses représentants Ayman Bouras.
Parlant de dialogue et de réconciliation nationale, le candidat entend inscrire le renouveau de la Libye avec l'aide des pays voisins.
Il devrait prochainement s'adresser aux Libyens. Selon Ayman Bouras, le fils de l'ancien dirigeant libyen assassiné en octobre 2011 dispose d'"un programme de réforme et un projet pour l'avenir" et d'"une vision politique, sécuritaire et sociale" pour le pays.
Libéré de sa geôle de Zintan (Est du pays) en juin 2017 par le groupe armé qui le détenait (Brigade Abou Bakr al-Sadiq), Saïf al-Islam est toujours réclamé par la Cour pénale internationale. La CPI a lancé en juin 2011 un mandat d'arrêt international contre lui pour "crimes contre l'humanité, meurtres et persécutions". Le Parlement de Tobrouk, opposé au gouvernement d'union nationale (GNA), l'a amnistié alors qu'il était condamné à mort par contumace par la justice libyenne à Tripoli depuis juillet 2015. Il est accusé d'avoir ordonné à ses troupes de tirer sur des civils, recruter de milices et d'incitation au viol et au meurtre durant la guerre civile libyenne.
Il vit depuis caché. Déjà en juin 2017, il avait proclamé vouloir réunifier son pays indiquant : "Je n’abandonnerai jamais la mission de mon père celle pourquoi il n’est plus parmi nous aujourd’hui. Je suis jeune et formaté pour la même mission! Cette mission conduisant à la liberté, et à la dignité de l’homme. Que la jeunesse africaine soit sûre que la mémoire de mon père ne sera jamais trahie."
Saïf al-Islam Kadhafi a fait connaître sa candidature, à Tunis lundi 19 mars 2018, via l'un de ses représentants Ayman Bouras.
Parlant de dialogue et de réconciliation nationale, le candidat entend inscrire le renouveau de la Libye avec l'aide des pays voisins.
Il devrait prochainement s'adresser aux Libyens. Selon Ayman Bouras, le fils de l'ancien dirigeant libyen assassiné en octobre 2011 dispose d'"un programme de réforme et un projet pour l'avenir" et d'"une vision politique, sécuritaire et sociale" pour le pays.
Libéré de sa geôle de Zintan (Est du pays) en juin 2017 par le groupe armé qui le détenait (Brigade Abou Bakr al-Sadiq), Saïf al-Islam est toujours réclamé par la Cour pénale internationale. La CPI a lancé en juin 2011 un mandat d'arrêt international contre lui pour "crimes contre l'humanité, meurtres et persécutions". Le Parlement de Tobrouk, opposé au gouvernement d'union nationale (GNA), l'a amnistié alors qu'il était condamné à mort par contumace par la justice libyenne à Tripoli depuis juillet 2015. Il est accusé d'avoir ordonné à ses troupes de tirer sur des civils, recruter de milices et d'incitation au viol et au meurtre durant la guerre civile libyenne.
Il vit depuis caché. Déjà en juin 2017, il avait proclamé vouloir réunifier son pays indiquant : "Je n’abandonnerai jamais la mission de mon père celle pourquoi il n’est plus parmi nous aujourd’hui. Je suis jeune et formaté pour la même mission! Cette mission conduisant à la liberté, et à la dignité de l’homme. Que la jeunesse africaine soit sûre que la mémoire de mon père ne sera jamais trahie."