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FRANCE. A l’appel du syndicat CGT, les salariés de la centrale thermique de la SNET à Gardanne, dans le sud-est de la France, ont entamé un mouvement de grève jeudi 2 avril 2009 pour défendre leur usine, filiale du groupe allemand E.ON.
Selon le syndicat, la direction a annoncé que l’une des deux tranches de la centrale serait fermée en 2012 et l’autre en 2018. Une information démentie par la direction d’E.ON qui assure que "notre site de Provence à Gardanne-Meyreuil est pérennisé au moins jusqu’en 2025, suite aux récents investissements réalisés sur la tranche de 600MW charbon pour 80 M€".
La CGT et les élus locaux appellent en outre l’Etat, actionnaire à 35% de la SNET, à tenir ses engagements de construire une nouvelle unité à la centrale de Gardanne.
Lire aussi: E.ON annule la construction d’une centrale thermique au gaz près d’Aix-en-Provence
Selon le syndicat, la direction a annoncé que l’une des deux tranches de la centrale serait fermée en 2012 et l’autre en 2018. Une information démentie par la direction d’E.ON qui assure que "notre site de Provence à Gardanne-Meyreuil est pérennisé au moins jusqu’en 2025, suite aux récents investissements réalisés sur la tranche de 600MW charbon pour 80 M€".
La CGT et les élus locaux appellent en outre l’Etat, actionnaire à 35% de la SNET, à tenir ses engagements de construire une nouvelle unité à la centrale de Gardanne.
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