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Ce nouveau débrayage reste en travers de la gorge de Michael O’Leary, le patron très libéral de Ryanair.
Connu pour ses provocations, cet Irlandais qui a pourtant bâti une partie du succès de sa compagnie sur les subventions publiques vient de jeter un nouveau pavé sur le tarmac en demandant à l’Union européenne de « retirer le droit de grève pour les contrôleurs du ciel ».
Une telle mesure permettrait « de renvoyer » les irréductibles qui déciderait d’arrêter le travail.
Le PDG de la compagnie low cost demande également à l’UE de « déréguler le trafic aérien européen pour permettre aux contrôleurs des pays non-grévistes de prendre le relai ».
L'Armée à la rescousse ?
Enfin, le dirigeant aimerait que l’UE « réforme la législation européenne EU261 sur les droits des passagers, pour que les compagnies n'aient plus d'obligations vis-à-vis de leurs passagers en cas de grève ».
Partisan de la manière forte, M. O’Leary n’hésite pas à en appeler à l’Armée : « Si ces personnes ne veulent pas travailler, remplacez-les par des militaires ou d'autres personnes qui veulent travailler », claironne-t-il, soulignant que la journée de grève du 12 octobre l'oblige à annuler 250 vols.