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FRANCE. Dix nouvelles lignes dans son programme d'hiver 2018 et quatre bases qui ouvriront en France. La compagnie aérienne Ryanair multiplie les annonces en ce début d'année. Dans un communiqué publié, mercredi 17 janvier 2018, la low cost irlandaise confirme "avoir rencontré un certain nombre d'aéroport français à Paris pour discuter d'éventuelles bases Ryanair dans plusieurs aéroports régionaux".
Il ne serait pas étonnant de voir ces bases, prévues dès l'été 2019 et qui accueilleront 300 pilotes, s'implanter dans les villes choisies pour accueillir de nouvelles lignes. En premier lieu Paris-Beauvais (d'où partiront des vols vers Malte, Thessalonique, Prague et Bratislava), Marseille (Faro, Bucarest et Budapest), Nantes (Londres Stansted et Séville) voire Bordeaux (Valence). Toulouse est également pressentie, l'aéroport étant devenu en 2017 le troisième aéroport régional grâce à .... l'arrivée de Ryanair.
La compagnie ne compte plus aucune base en France depuis 2010 et le début de ses mésaventures avec la justice pour travail dissimulé. En représailles, Ryanair avait dès octobre de la même année annoncé la fermeture de sa base marseillaise.
La donne est aujourd'hui tout autre. Accusée de ne pas respecter le droit social français - et notamment de domicilier son personnel naviguant en Irlande alors qu'il habitait dans la cité phocéenne - Ryanair a depuis mi décembre 2017 changé son fusil d'épaule. En acceptant la création de syndicats de pilotes en son sein, elle ouvre le champ à des négociations rendant possible son retour dans l'hexagone.
David O'Brien, directeur commercial de Ryanair, pense "raisonnablement pouvoir doubler d'ici trois ou quatre ans (son) trafic en France" en positionnant "trente avions dans quatre bases régionales." La compagnie low cost dessert aujourd'hui trente-et-un aéroports français pour dix-neuf millions de passagers transportés.
Il ne serait pas étonnant de voir ces bases, prévues dès l'été 2019 et qui accueilleront 300 pilotes, s'implanter dans les villes choisies pour accueillir de nouvelles lignes. En premier lieu Paris-Beauvais (d'où partiront des vols vers Malte, Thessalonique, Prague et Bratislava), Marseille (Faro, Bucarest et Budapest), Nantes (Londres Stansted et Séville) voire Bordeaux (Valence). Toulouse est également pressentie, l'aéroport étant devenu en 2017 le troisième aéroport régional grâce à .... l'arrivée de Ryanair.
La compagnie ne compte plus aucune base en France depuis 2010 et le début de ses mésaventures avec la justice pour travail dissimulé. En représailles, Ryanair avait dès octobre de la même année annoncé la fermeture de sa base marseillaise.
La donne est aujourd'hui tout autre. Accusée de ne pas respecter le droit social français - et notamment de domicilier son personnel naviguant en Irlande alors qu'il habitait dans la cité phocéenne - Ryanair a depuis mi décembre 2017 changé son fusil d'épaule. En acceptant la création de syndicats de pilotes en son sein, elle ouvre le champ à des négociations rendant possible son retour dans l'hexagone.
David O'Brien, directeur commercial de Ryanair, pense "raisonnablement pouvoir doubler d'ici trois ou quatre ans (son) trafic en France" en positionnant "trente avions dans quatre bases régionales." La compagnie low cost dessert aujourd'hui trente-et-un aéroports français pour dix-neuf millions de passagers transportés.