
Le Haut commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme, Navi Pillay (ONU)
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SYRIE. Après le lancement par l'armée syrienne, mardi 6 mars 2012, de plusieurs assauts notamment dans la région de Deraa, les membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU et le Maroc débattaient à huis clos du projet de résolution américain pour l'arrêt de la répression.
La Russie et la Chine apposent pour le moment leurs vétos sur le vote de ce texte.
Du côté du dirigeant syrien, Bachar al-Assad resterait déterminé à combattre le "terrorisme soutenu par l'étranger". La déclaration ne crée par la surprise car, les propos du dirigeant syrien demeurent identiques depuis le début du soulèvement populaire en 2011.
Valérie Amos, responsable des opérations humanitaires de l'ONU, arrive dans un même temps sur le territoire syrien et rappelle l'importance d'un accès humanitaire "sans entrave".
Le Haut commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH ), Navi Pillay déclare quant à elle, suite à la diffusion d'un reportage sur une chaîne de télévision britannique montrant des patients torturés dans un hôpital militaire à Homs en Syrie, être choquée par les images et corrèle ses dires aux conclusions des "rapports de la Mission d'établissement des faits et de la Commission d'enquête établies par le Conseil des droits de l'homme".
Seize personnes ont péri ce même mardi 6 mars 2012 dans les violences précise l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.
La Russie et la Chine apposent pour le moment leurs vétos sur le vote de ce texte.
Du côté du dirigeant syrien, Bachar al-Assad resterait déterminé à combattre le "terrorisme soutenu par l'étranger". La déclaration ne crée par la surprise car, les propos du dirigeant syrien demeurent identiques depuis le début du soulèvement populaire en 2011.
Valérie Amos, responsable des opérations humanitaires de l'ONU, arrive dans un même temps sur le territoire syrien et rappelle l'importance d'un accès humanitaire "sans entrave".
Le Haut commissariat des Nations Unies aux droits de l'homme (HCDH ), Navi Pillay déclare quant à elle, suite à la diffusion d'un reportage sur une chaîne de télévision britannique montrant des patients torturés dans un hôpital militaire à Homs en Syrie, être choquée par les images et corrèle ses dires aux conclusions des "rapports de la Mission d'établissement des faits et de la Commission d'enquête établies par le Conseil des droits de l'homme".
Seize personnes ont péri ce même mardi 6 mars 2012 dans les violences précise l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.