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ÉGYPTE. Le feuilleton continue en Égypte sur la polémique de la cession de deux îlots de la mer Rouge, Tiran et Sanafir, à l'Arabie saoudite.
Dimanche 2 avril 2017, un tribunal égyptien des référés a invalidé une décision de justice de la Haute cour administrative de janvier 2017 en faveur des opposants à leur rétrocession à Ryad. Selon ces juges, "le pouvoir judiciaire n'a pas le droit de s'ingérer dans des questions de souveraineté". En novembre 2016 déjà, un tribunal administratif s'était prononcé contre.
Depuis avril 2016 et la signature par Abdel Fattah al-Sissi et le roi Salmane d'Arabie saoudite de l'accord de rétrocession - après l'annonce d'un prêt de 21,5 mrds€ de Ryad au Caire - les Égyptiens se divisent sur le sort de ces deux petits îlots Tiran et Sanafir, de respectivement de 80 et 30 km², situés à l'entrée du golfe d'Aqaba, à la pointe sud de la péninsule du Sinaï.
En 1950, l'Arabie saoudite avait demandé à l'Égypte d'assurer la protection de Tiran et Sanafir qui appartenaient à Ryad.
L'affaire est surtout politique - alors que l'Arabie saoudite a repris ses livraisons de pétrole vers l'Égypte - et d'ailleurs le Parlement égyptien est appelé à statuer sur cet accord de rétrocession.
Dimanche 2 avril 2017, un tribunal égyptien des référés a invalidé une décision de justice de la Haute cour administrative de janvier 2017 en faveur des opposants à leur rétrocession à Ryad. Selon ces juges, "le pouvoir judiciaire n'a pas le droit de s'ingérer dans des questions de souveraineté". En novembre 2016 déjà, un tribunal administratif s'était prononcé contre.
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