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SYRIE. Symbole de l'implantation de l'Etat islamique en Syrie, la prise de Rakka par les forces kurdes de l'YPG soutenues par la coalition internationale constitue une nouvelle étape importante dans l'éviction des jihadistes du pays.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une centaine d'entre eux s'est rendue, samedi 14 octobre 2017 après un accord, et a pu être évacué de la ville, avec 4 000 civils servant parfois de boucliers humains. Par contre, l'OSDH s'inquiète de la situation notamment des 150 combattants étrangers de l'EI qui demeurent dans Rakka et n'auraient pas été autorisés par la coalition à sortir. Parmi eux figurerait le Marocain Abdelilah Himchic, accusé d'être le cerveau des attentats de Paris en novembre 2015 et ceux de Bruxelles en mars 2016.
Alors que Daech se trouvait maître de la ville depuis 2014, la bataille pour sa reconquête a débuté en juin 2017. Les combattants kurdes se heurtaient depuis plusieurs semaines à quelques poches encore tenues par l'Etat islamique.
La prise de Rakka, si elle constitue un tournant dans la guerre civile, pose cependant un problème. Les troupes de Bachar al-Assad, se trouvent à quelques kilomètres de là et entendent bien contrôler à nouveau l'ensemble du pays.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une centaine d'entre eux s'est rendue, samedi 14 octobre 2017 après un accord, et a pu être évacué de la ville, avec 4 000 civils servant parfois de boucliers humains. Par contre, l'OSDH s'inquiète de la situation notamment des 150 combattants étrangers de l'EI qui demeurent dans Rakka et n'auraient pas été autorisés par la coalition à sortir. Parmi eux figurerait le Marocain Abdelilah Himchic, accusé d'être le cerveau des attentats de Paris en novembre 2015 et ceux de Bruxelles en mars 2016.
Alors que Daech se trouvait maître de la ville depuis 2014, la bataille pour sa reconquête a débuté en juin 2017. Les combattants kurdes se heurtaient depuis plusieurs semaines à quelques poches encore tenues par l'Etat islamique.
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