EUROPE. Cushman & Wakefield fait le bilan des investissements en immobilier de commerces en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique (zone EMEA). Le Portugal, l'Espagne et l'Italie attireraient de plus en plus les investisseurs sur ce marché.
La société privée non cotée en bourse, Cushman & Wakefield, exerce les activités de conseil en immobilier d’entreprise et dresse quelques études sur ce marché dans le monde.
Entre l'année 2013 et 2014 (2e trimestre 2013 à la fin du 1er trimestre 2014), les montants investis en immobilier de commerces totalisaient 44,1 mrds€. Ils représentaient 10,8 mrds€ au 1er trimestre 2014, soit un volume en hausse de 27% par rapport au même trimestre de l'année précédente.
La société privée non cotée en bourse, Cushman & Wakefield, exerce les activités de conseil en immobilier d’entreprise et dresse quelques études sur ce marché dans le monde.
Entre l'année 2013 et 2014 (2e trimestre 2013 à la fin du 1er trimestre 2014), les montants investis en immobilier de commerces totalisaient 44,1 mrds€. Ils représentaient 10,8 mrds€ au 1er trimestre 2014, soit un volume en hausse de 27% par rapport au même trimestre de l'année précédente.
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L'Allemagne, le Royaume-Uni et la France se révèlent être les trois marchés les plus prisés pour les investissements commerces, totalisant 68% du marché au 1er trimestre 2014. L'Europe du Sud "continue à monter en popularité", souligne David Hutchings, directeur de la Stratégie d'investissement EMEA pour le groupe. L'Espagne et l'Italie enregistrent ainsi une bonne croissance des investissements par rapport au même trimestre 2013 tandis que le Portugal "intéresse de plus en plus les investisseurs", souligne l'étude. Un intérêt qui pointe aussi son nez dans les Balkans et en Turquie.
L'étude regrette cependant "le manque d’offres" conduisant à "une certaine pression sur les prix et incitant les investisseurs à élargir leurs critères de recherche (localisation, qualité)". Les investisseurs, de plus en plus mobiles, choisissent donc de concentrer leurs efforts financiers selon la "disponibilité des produits et des actifs".
Pour l'année 2014, les volumes investis en immobilier de commerces devraient augmenter de 15%, à 47 mrds€.
Voir aussi: La France et la Turquie miroitent de grands projets commerciaux
L'étude regrette cependant "le manque d’offres" conduisant à "une certaine pression sur les prix et incitant les investisseurs à élargir leurs critères de recherche (localisation, qualité)". Les investisseurs, de plus en plus mobiles, choisissent donc de concentrer leurs efforts financiers selon la "disponibilité des produits et des actifs".
Pour l'année 2014, les volumes investis en immobilier de commerces devraient augmenter de 15%, à 47 mrds€.
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