
Rachid Nekkaz est très populaire auprès de la jeunesse grâce à une forte présence sur les réseaux sociaux (photo : FB)
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ALGÉRIE. La campagne présidentielle algérienne apporte chaque jour son lot de surprise. Après l'annonce du cinquième mandat d'Abdelaziz Bouteflika qui ne pourrait durer qu'un an, voici qu'un Rachid Nekkaz peut en cacher un autre.
Ne pouvant se présenter - car inéligible à cause de son ancienne double nationalité franco-algérienne et une résidence en Algérie inférieure à dix ans - le fantasque opposant a trouvé l'astuce de faire déposer son dossier de candidature au Conseil constitutionnel, dimanche 3 mars 2019, par... son cousin. Dossier qui a été accepté. " Suite au refus du Conseil constitutionnel d’accepter mon dossier de candidature hier après-midi, j’ai été obligé de mettre en œuvre mon ‘plan B’ afin de rester dans le jeu et de maintenir la pression sur le régime ", écrit Rachid Nekkaz sur son site Facebook.
Même prénom, même nom, Rachid Nekkaz, un mécanicien de Chlef, a accepté de remplacer au pied levé la star politique algérienne des réseaux sociaux. Si jamais, hypothèse très peu probable, il était élu, la combine consistera à créer un poste de vice-président confié, bien entendu, au "vrai" Rachid Nekkaz. Le cousin homonyme démissionnerait alors pour laisser le multiple candidat aux présidentielles françaises et algériennes occuper automatiquement le poste de président.
Selon l'Agence presse service (APS), dix-sept autres candidats ont déposé leur dossier au Conseil constitutionnel pour l'élection présidentielle du 18 avril 2019. L'institution doit encore se prononcer sur leur validité d'ici le 13 mars 2019.
Lire aussi : L'opposant algérien Rachid Nekkaz se trouverait en résidence surveillée
Ne pouvant se présenter - car inéligible à cause de son ancienne double nationalité franco-algérienne et une résidence en Algérie inférieure à dix ans - le fantasque opposant a trouvé l'astuce de faire déposer son dossier de candidature au Conseil constitutionnel, dimanche 3 mars 2019, par... son cousin. Dossier qui a été accepté. " Suite au refus du Conseil constitutionnel d’accepter mon dossier de candidature hier après-midi, j’ai été obligé de mettre en œuvre mon ‘plan B’ afin de rester dans le jeu et de maintenir la pression sur le régime ", écrit Rachid Nekkaz sur son site Facebook.
Même prénom, même nom, Rachid Nekkaz, un mécanicien de Chlef, a accepté de remplacer au pied levé la star politique algérienne des réseaux sociaux. Si jamais, hypothèse très peu probable, il était élu, la combine consistera à créer un poste de vice-président confié, bien entendu, au "vrai" Rachid Nekkaz. Le cousin homonyme démissionnerait alors pour laisser le multiple candidat aux présidentielles françaises et algériennes occuper automatiquement le poste de président.
Selon l'Agence presse service (APS), dix-sept autres candidats ont déposé leur dossier au Conseil constitutionnel pour l'élection présidentielle du 18 avril 2019. L'institution doit encore se prononcer sur leur validité d'ici le 13 mars 2019.
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