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EUROPE. Selon une étude d'Eurostat, 889 100 personnes ont obtenu, en 2014, la nationalité d'un des vingt huit États membre de l'Union européenne. Un chiffre en baisse de 9% par rapport à 2013 alors augmentait depuis deux années consécutives. 88% des demandes acceptées émanaient d'un ressortissant d'un pays tiers (non membre de l'UE).
Les pays méditerranéens fournissent le principal contingent des personnes ayant choisi une des nationalités de l'UE. En tête, les Marocains avec 92 700 demandes acceptées, pour des nationalités à 88% espagnoles, françaises ou italiennes. Suivent les Albanais (41 000), qui choisissent à 96% la nationalité grecque ou italienne, puis les Turcs séduits à 60% par l'Allemagne.
Les pays méditerranéens s'avèrent aussi les plus pourvoyeurs de nouvelles nationalités avec l'Espagne (23% du total de l'UE avec 205 900 personnes) et l'Italie (15% avec 129 900) alors que la France (12% avec 105 600 personnes) ne se situe qu'à la cinquième place derrière le Royaume Uni (14% avec 125 600) et l'Allemagne (12% avec 110 600).
Depuis 2009, plus de cinq millions de personnes ont obtenu la nationalité d'un État membre.
Les pays méditerranéens fournissent le principal contingent des personnes ayant choisi une des nationalités de l'UE. En tête, les Marocains avec 92 700 demandes acceptées, pour des nationalités à 88% espagnoles, françaises ou italiennes. Suivent les Albanais (41 000), qui choisissent à 96% la nationalité grecque ou italienne, puis les Turcs séduits à 60% par l'Allemagne.
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