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Les sacs Prado ont eu moins de succès en 2014 (photo Prada)
ITALIE. Pour la première fois depuis son entrée à la bourse de Hong Kong, c’est à dire depuis quatre ans, le groupe Prada a enregistré, en 2014, une baisse de 28% de sa marge de bénéfices annuels estimée à 451M€ pour un chiffre d’affaires de 3,5 mrds €. Selon la presse italienne, la direction aurait décidé de rétablir l’équilibre en appliquant une politique de réduction des coûts.
La flexion enregistrée s'expliquerait par la situation internationale « difficile » avec des tensions « sociales et politiques importantes dont l’impact se répercute sur les marchés essentiels » estime le groupe dans une note.
En Europe par exemple, les bénéfices ont chuté de 1,1% par rapport à 2013 en raison de la baisse des flux touristiques et de la consommation. Le scénario demeure identique en Asie et dans le Pacifique tandis que la situation reste stable en Amérique du Nord.
Pour Patrizio Bertelli, administrateur délégué de Prada, « le groupe traverse une pause d’un an après avoir effectué un parcours important pour le développement de ses activités. » Mais il ajoute que les prévisions sont moroses, en raison de l’instabilité des monnaies sur le marché des changes et des répercussions des situations politiques sociales tendues dans certains pays sur les marchés des biens de consommation de luxe.
La flexion enregistrée s'expliquerait par la situation internationale « difficile » avec des tensions « sociales et politiques importantes dont l’impact se répercute sur les marchés essentiels » estime le groupe dans une note.
En Europe par exemple, les bénéfices ont chuté de 1,1% par rapport à 2013 en raison de la baisse des flux touristiques et de la consommation. Le scénario demeure identique en Asie et dans le Pacifique tandis que la situation reste stable en Amérique du Nord.
Pour Patrizio Bertelli, administrateur délégué de Prada, « le groupe traverse une pause d’un an après avoir effectué un parcours important pour le développement de ses activités. » Mais il ajoute que les prévisions sont moroses, en raison de l’instabilité des monnaies sur le marché des changes et des répercussions des situations politiques sociales tendues dans certains pays sur les marchés des biens de consommation de luxe.