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LIBYE. Une garde frontalière va désormais contrôler les 5 000 kilomètres des frontières sud de la Libye. La création de cette nouvelle force - pour stopper notamment les passeurs de migrants et les trafics illicites - est la résultante d'un accord de paix sur douze points signé, vendredi 31 mars 2017 à Rome, par plusieurs tribus libyennes. Il met fin au conflit entre elles se déroulant depuis la chute du régime de Kadhafi pour la main-mise sur les routes et leur trafic.
Le texte porte notamment aussi sur la lutte contre le terrorisme djihadiste, la radicalisation (avec des mesures sur la formation professionnelle), le développement humain et l'investissement.
Soixante chefs de clans libyens ainsi qu'un représentant du gouvernement libyen d'union nationale (Tripoli) ont discuté pendant 72 heures dans la capitale italienne, sous médiation italienne, pour arriver à s'entendre.
La garde, patrouille unifiée aux frontières avec l'Algérie, le Niger et le Tchad, va compléter le travail des gardes-côtes au Nord dont quatre-vingt dix terminent actuellement leur formation (opération Seahorse) dispensée par l'Union européenne (UE) et l'Italie.
En mars 2017, la Commission européenne a débloqué 200 M€ pour aider les migrants en Libye et en Afrique du Nord.
Le texte porte notamment aussi sur la lutte contre le terrorisme djihadiste, la radicalisation (avec des mesures sur la formation professionnelle), le développement humain et l'investissement.
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