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L'euro est arrivé dans les portefeuilles le 1er janvier 2002 (photo : F.Dubessy)
ZONE EURO. Les Européens n'ont jamais été aussi favorables à l'euro. Selon la dernière enquête Eurobaromètre, 76% des ressortissants de la zone euro interrogées (17 551 répondants) estiment que "la monnaie unique est bénéfique à l'UE". Il s'agit du plus fort taux enregistré depuis le début de ces enquêtes en 2002 et l'introduction des pièces et billets en euro.
Les Irlandais (90%) arrivent très largement en tête des opinions favorables sur cette question - à neuf points du groupe de six pays occupant la seconde place - et les Italiens (69%) sont largement les moins convaincus, juste devant les Chypriotes (70%).
Les Irlandais (90%) arrivent très largement en tête des opinions favorables sur cette question - à neuf points du groupe de six pays occupant la seconde place - et les Italiens (69%) sont largement les moins convaincus, juste devant les Chypriotes (70%).
Les Italiens et les Chypriotes constatent peu de bénéfice à l'arrivée de l'euro
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Publiée vendredi 29 novembre 2019, cette étude précise que 65% des personnes interrogées considèrent également que "l'euro est bénéfique pour leur pays". C'est également un record. En octobre 2018, ils était 64%.
Les Irlandais (88%), les Luxembourgeois (81%), les Finlandais (79%), les Portugais (68%) et les Maltais (67%) enregistrent le plus grand nombre de réponses favorables à cette question. Au contraire, les Lituaniens (49%) ainsi que les Italiens et les Chypriotes, 55% pour chacun d'entre eux, sont moins d'accord.
Les Irlandais (88%), les Luxembourgeois (81%), les Finlandais (79%), les Portugais (68%) et les Maltais (67%) enregistrent le plus grand nombre de réponses favorables à cette question. Au contraire, les Lituaniens (49%) ainsi que les Italiens et les Chypriotes, 55% pour chacun d'entre eux, sont moins d'accord.
Les hommes s'avèrent les plus convaincus (78% contre 73 des femmes) alors que les jeunes sont plus enclins à trouver que l'euro est une bonne chose pour l'UE. 85% des 15-24 ans répondent oui à cette question alors que les 55 ans et plus ne sont que 72% à le faire.
"Presque 28 ans après avoir apposé mon nom sur le traité de Maastricht, je reste convaincu que cette signature a été la plus importante de toute ma vie. Aujourd’hui, 20 ans après, l’euro est devenu un symbole d’unité, de souveraineté et de stabilité. Grâce au travail acharné que nous avons accompli durant ces cinq dernières années pour tourner la page de la crise en Europe, les Européens tirent désormais parti des emplois, de la croissance et des investissements, rendant l’Union économique et monétaire plus forte que jamais. L’euro et moi sommes les seuls "survivants" du traité de Maastricht; aussi, je me réjouis de voir un tel niveau de soutien en faveur de notre monnaie unique au dernier jour de mon mandat de président de la Commission européenne. L’euro a été la lutte de toute une vie et il constitue l’un des meilleurs atouts de l’Europe pour l’avenir. Faisons en sorte que l’euro continue d’apporter prospérité et protection à tous Européens", commente Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne.
La zone euro comprend dix-neuf Etats pour un total de 345 millions d'habitants. Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas et Portugal ont adopté la monnaie unique dès le 1er janvier 1999. Puis huit autres sont venus successivement les rejoindre : Grèce (1er janvier 2001), Slovénie (1er janvier 2007), la République de Chypre (hors Chypre du Nord) et Malte (1er janvier 2008), Slovaquie (1er janvier 2009), Estonie (1er janvier 2011), Lettonie (1er janvier 2014) et Lituanie (1er janvier 2015).
Lire l'enquête Eurobaromètre au complet
"Presque 28 ans après avoir apposé mon nom sur le traité de Maastricht, je reste convaincu que cette signature a été la plus importante de toute ma vie. Aujourd’hui, 20 ans après, l’euro est devenu un symbole d’unité, de souveraineté et de stabilité. Grâce au travail acharné que nous avons accompli durant ces cinq dernières années pour tourner la page de la crise en Europe, les Européens tirent désormais parti des emplois, de la croissance et des investissements, rendant l’Union économique et monétaire plus forte que jamais. L’euro et moi sommes les seuls "survivants" du traité de Maastricht; aussi, je me réjouis de voir un tel niveau de soutien en faveur de notre monnaie unique au dernier jour de mon mandat de président de la Commission européenne. L’euro a été la lutte de toute une vie et il constitue l’un des meilleurs atouts de l’Europe pour l’avenir. Faisons en sorte que l’euro continue d’apporter prospérité et protection à tous Européens", commente Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne.
La zone euro comprend dix-neuf Etats pour un total de 345 millions d'habitants. Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Finlande, France, Irlande, Italie, Luxembourg, Pays-Bas et Portugal ont adopté la monnaie unique dès le 1er janvier 1999. Puis huit autres sont venus successivement les rejoindre : Grèce (1er janvier 2001), Slovénie (1er janvier 2007), la République de Chypre (hors Chypre du Nord) et Malte (1er janvier 2008), Slovaquie (1er janvier 2009), Estonie (1er janvier 2011), Lettonie (1er janvier 2014) et Lituanie (1er janvier 2015).
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