
La signature entre les autorités algériennes et le groupe PSA était attendue depuis un an et demi (photo : Groupe PSA Direction de la communication)
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ALGÉRIE / FRANCE. Après des années de tergiversations, le constructeur français PSA a signé, dimanche 12 novembre 2017 à l'occasion du comité économique mixte algéro-français (Comefa), un accord avec le gouvernement algérien pour l'implantation d'une usine de fabrication et de montage de véhicules dans la banlieue d'Oran. Il vient rejoindre ses concurrents Renault, Hyundai et Volkswagen.
Le projet date de juin 2015 avec une annonce officielle de Abdeslam Bouchouareb, ministre algérien de l'Industrie. En 2016, un protocole devait être signé mais avait été subitement reporté "à une date ultérieure" par les autorités algériennes.
Après un investissement de 100 M€ et le recrutement de 1 000 salariés, les premiers véhicules sortiront des chaînes en 2019. L'usine sera détenue en co-entreprise à 49% par PSA et à 51% par un consortium de trois sociétés algériennes : Condor Electronics, Palpa Prop et PMO (Entreprise nationale de Production de machines-outils). Le constructeur vise la production de 75 000 véhicules de marque Peugeot et Citroën d'ici cinq ans.
« L’Algérie est un marché historique pour le Groupe PSA et nous sommes particulièrement fiers de nous y implanter industriellement. Elle est au cœur de la région Moyen-Orient et Afrique qui est un levier majeur de l’internationalisation rentable du plan Push to Pass. Cet accord nous permettra de disposer de capacités de production au cœur de la région pour réaliser notre ambition d’y vendre 700 000 véhicules en 2021 », souligne Jean-Christophe Quémard, directeur de la région Moyen-Orient et Afrique du groupe PSA.
Le constructeur français a vendu 383 504 véhicules dans cette région en 2016.
Le projet date de juin 2015 avec une annonce officielle de Abdeslam Bouchouareb, ministre algérien de l'Industrie. En 2016, un protocole devait être signé mais avait été subitement reporté "à une date ultérieure" par les autorités algériennes.
Après un investissement de 100 M€ et le recrutement de 1 000 salariés, les premiers véhicules sortiront des chaînes en 2019. L'usine sera détenue en co-entreprise à 49% par PSA et à 51% par un consortium de trois sociétés algériennes : Condor Electronics, Palpa Prop et PMO (Entreprise nationale de Production de machines-outils). Le constructeur vise la production de 75 000 véhicules de marque Peugeot et Citroën d'ici cinq ans.
« L’Algérie est un marché historique pour le Groupe PSA et nous sommes particulièrement fiers de nous y implanter industriellement. Elle est au cœur de la région Moyen-Orient et Afrique qui est un levier majeur de l’internationalisation rentable du plan Push to Pass. Cet accord nous permettra de disposer de capacités de production au cœur de la région pour réaliser notre ambition d’y vendre 700 000 véhicules en 2021 », souligne Jean-Christophe Quémard, directeur de la région Moyen-Orient et Afrique du groupe PSA.
Le constructeur français a vendu 383 504 véhicules dans cette région en 2016.