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FRANCE. Gaz réseau distribution France (GrDF) et la communauté d’agglomération Perpignan Méditerranée ont signé, jeudi 6 février 2014, une convention d’un an visant à développer et à structurer la filière biogaz sur le territoire intercommunal. Le document prévoit qu’une étude soit publiée en avril 2014 afin de :
- quantifier les « gisements » de matière première issus des bio-déchets afin d'être en complémentarité avec les activités déjà existantes sur le territoire ;
- déterminer la valorisation optimale du gisement (process de co-génération, tri-génération ou réinjection réseau) ;
- cartographier le territoire en privilégiant l'implantation de sites potentiels sur les zones économiques dotées de réserves foncières ;
- définir un plan d'épandage du « digestat » (produit issu de la méthanisation) auprès des agriculteurs et acteurs locaux,
- définir un « modère économique » permettant de s'assurer de la viabilité et de la pérennité des futurs projets.
Perpignan Méditerranée souhaite ainsi définir « un véritable schéma directeur capable d'orienter la politique de développement dans ce domaine dans les dix à quinze prochaines années ». A court terme, le document vise à donner un cadre aux intentions déjà formulées par « cinq des principaux opérateurs français dans le domaine des installations de biogaz », prêts à investir « 30 à 40 M€ chacun pour la réalisation d'installations biogaz sur le territoire », selon la communauté d’agglomération.
Perpignan Méditerranée ambitionne de devenir un territoire à énergie positive.
- quantifier les « gisements » de matière première issus des bio-déchets afin d'être en complémentarité avec les activités déjà existantes sur le territoire ;
- déterminer la valorisation optimale du gisement (process de co-génération, tri-génération ou réinjection réseau) ;
- cartographier le territoire en privilégiant l'implantation de sites potentiels sur les zones économiques dotées de réserves foncières ;
- définir un plan d'épandage du « digestat » (produit issu de la méthanisation) auprès des agriculteurs et acteurs locaux,
- définir un « modère économique » permettant de s'assurer de la viabilité et de la pérennité des futurs projets.
Perpignan Méditerranée souhaite ainsi définir « un véritable schéma directeur capable d'orienter la politique de développement dans ce domaine dans les dix à quinze prochaines années ». A court terme, le document vise à donner un cadre aux intentions déjà formulées par « cinq des principaux opérateurs français dans le domaine des installations de biogaz », prêts à investir « 30 à 40 M€ chacun pour la réalisation d'installations biogaz sur le territoire », selon la communauté d’agglomération.
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