
Le vote de la nouvelle constitution marque une nouvelle étape dans l'après-révolution (photo F.Dubessy)
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TUNISIE/UE. Promis en 2011 par Štefan Füle, commissaire européen pour l'Élargissement et la Politique européenne de voisinage, le partenariat de mobilité a été officiellement mis en place entre la Tunisie et l'Union Européenne (UE), le 3 mars 2014.
Une "déclaration conjointe" vient d'être signée en ce sens par Cécilia Malmström, commissaire européenne chargée des Affaires intérieures, Tahar Cherif ambassadeur de la Tunisie auprès de l'UE et les ministres des dix États membres de l’UE participant à ce partenariat dont l'Espagne, la France, l'Italie et le Portugal.
Par ce partenariat, la mobilité des personnes circulant entre l'UE et la Tunisie sera facilitée, grâce notamment à une simplification des procédures d'octroi de visas. Cécilia Malmström assure que cet accord permettra non seulement de développer les relations bilatérales "dans les domaines de la migration, la mobilité et la sécurité", mais aussi "de mieux affronter les défis présents en Méditerranée".
Il s'agit du deuxième pays du pourtour méditerranéen à bénéficier d'un partenariat de mobilité avec l'UE, après le Maroc. Par ailleurs, des "négociations" sont en cours pour l'élaboration d'un même accord avec la Jordanie, souligne l'UE.
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Une "déclaration conjointe" vient d'être signée en ce sens par Cécilia Malmström, commissaire européenne chargée des Affaires intérieures, Tahar Cherif ambassadeur de la Tunisie auprès de l'UE et les ministres des dix États membres de l’UE participant à ce partenariat dont l'Espagne, la France, l'Italie et le Portugal.
Par ce partenariat, la mobilité des personnes circulant entre l'UE et la Tunisie sera facilitée, grâce notamment à une simplification des procédures d'octroi de visas. Cécilia Malmström assure que cet accord permettra non seulement de développer les relations bilatérales "dans les domaines de la migration, la mobilité et la sécurité", mais aussi "de mieux affronter les défis présents en Méditerranée".
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