
La Commission européenne n'est pas satisfaite des budgets français et italiens pour 2020 (photo : Commission européenne)
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FRANCE / ITALIE. Evoquant une absence d'effort budgétaire et des "risques d'écart" avec les règles européennes, la Commission européenne a demandé, mardi 22 octobre 2019 au soir, des clarifications à la France et à l'Italie sur leur projet de loi de finance (PLF) 2010.
Une lettre, signée par Pierre Moscovici, Commissaire aux Affaires économiques, et Valdis Dombrovskis, Vice-président de la Commission européenne, et envoyée à Bruno Le Maire et Roberto Gualtieri, respectivement ministres des Finances français et italien, s'étonne que "le projet de plan budgétaire prévoit un effort structurel de 0,0% du PIB en valeur nominale". En clair, Paris et Rome ne font pas d'effort pour améliorer l'état de leurs finances publiques et donc d'infléchir leur dette. "Le taux de croissance nominale des dépenses primaires serait de 2,6% supérieur à la hausse maximale recommandée de 1,2%", notent les signataires de la missive adressée à Paris.
Les budgets 2020 de l'Espagne et du Portugal (ainsi que la Finlande et la Belgique) sont également sous la loupe de la Commission européenne. Ces deux pays ont présenté des projets de lois de finance incomplets.
Une lettre, signée par Pierre Moscovici, Commissaire aux Affaires économiques, et Valdis Dombrovskis, Vice-président de la Commission européenne, et envoyée à Bruno Le Maire et Roberto Gualtieri, respectivement ministres des Finances français et italien, s'étonne que "le projet de plan budgétaire prévoit un effort structurel de 0,0% du PIB en valeur nominale". En clair, Paris et Rome ne font pas d'effort pour améliorer l'état de leurs finances publiques et donc d'infléchir leur dette. "Le taux de croissance nominale des dépenses primaires serait de 2,6% supérieur à la hausse maximale recommandée de 1,2%", notent les signataires de la missive adressée à Paris.
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