
La fin du conflit approche à condition que les deux pouvoirs libyens réussissent à s'entendre (photo CC-Joepyrek)
Voir aussi
-
Israël se prononce pour la solution à deux États pour régler son conflit avec la Palestine
-
Voltalia investit dans cinq nouvelles centrales solaires au Portugal
-
La Commission européenne donne son feu vert aux aides d’État dans le domaine de l'hydrogène
-
HOMERe France et l'IECD s'allient pour faciliter l'employabilité des jeunes Libanais
-
Le Liban va pouvoir extraire son propre gaz naturel
LIBYE / FRANCE. Réunis à Paris lundi 3 octobre 2016 à l'initiative de la France, sans aucun représentant du gouvernement d'union nationale, les représentants des pays du Moyen-Orient, d'Europe, de Turquie et des États-Unis ont réitéré leur soutien à Fayez al-Sarraj. Ils comptent toujours sur le premier ministre libyen, soutenu par la communauté internationale, pour stabiliser son pays en plein chaos. Jean-Marc Ayrault, ministre français des Affaires étrangères réaffirme que "le pétrole libyen doit dépendre du gouvernement libyen de Tripoli."
Avec un bémol notable cependant. La France et ses partenaires indiquent que le désormais Maréchal Haftar doit trouver sa place dans le gouvernement. "Il représente une force sur le plan militaire" précisent les participants à la réunion de Paris. Et c'est peu de le dire depuis la prise des terminaux du Croissant pétrolier par l'homme du Parlement élu de Tobrouk qui ne reconnait pas le gouvernement d'union nationale. Pourtant Khalifa Haftar se trouve toujours exclu des négociations.
La Libye est en train de chasser le groupe Etat islamique de son territoire - des combats se déroulent encore à Syrte pour déloger la dernière poche de ses combattants - et il faudra bien s'entendre après pour éviter la scission du pays. "Nous avons besoin d'un gouvernement libyen stable et pour qu'il le soit, il faut qu'il soit rassemblé" précise Jean-Marc Ayrault.
Lire aussi :La communauté internationale demande une réconciliation nationale en Libye
Avec un bémol notable cependant. La France et ses partenaires indiquent que le désormais Maréchal Haftar doit trouver sa place dans le gouvernement. "Il représente une force sur le plan militaire" précisent les participants à la réunion de Paris. Et c'est peu de le dire depuis la prise des terminaux du Croissant pétrolier par l'homme du Parlement élu de Tobrouk qui ne reconnait pas le gouvernement d'union nationale. Pourtant Khalifa Haftar se trouve toujours exclu des négociations.
La Libye est en train de chasser le groupe Etat islamique de son territoire - des combats se déroulent encore à Syrte pour déloger la dernière poche de ses combattants - et il faudra bien s'entendre après pour éviter la scission du pays. "Nous avons besoin d'un gouvernement libyen stable et pour qu'il le soit, il faut qu'il soit rassemblé" précise Jean-Marc Ayrault.
Lire aussi :La communauté internationale demande une réconciliation nationale en Libye