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MAROC / FRANCE. Le constructeur automobile Peugeot a confirmé après un mois de rumeurs, sa volonté de s'implanter au Maroc.
Opérationnelle en 2019, l'usine nécessitera un investissement de 557 M€ (à 95% porté par PSA et le solde par la Caisse de dépôt et de gestion marocaine) et sa production servira à "accompagner le développement commercial de PSA Peugeot Citroën sur les marchés de la région Afrique-Moyen-Orient" comme le précise le communiqué du constructeur français. Principales cibles, outre le Maroc, la Tunisie, l'Egypte et la Turquie. Certains syndicats craignent que les véhicules de cette usine à bas coûts finissent par arriver en Europe.
Elle s'implantera dans la commune de Ameur Seflia (région de Kénitra) pour assembler des moteurs et des véhicules des segments B (citadines) et C (monospaces compacts). L'usine disposera d'une capacité de 90 000 moteurs et véhicules au démarrage, puis de 200 000 unités à terme.
PSA Peugeot Citroën entend travailler avec la sous-traitance locale. Le constructeur prévoit un taux d'intégration locale de 60% au démarrage puis de 80% à terme.
« L’Afrique et le Moyen-Orient sont des marchés historiques pour PSA et cette région doit devenir un levier d’internationalisation rentable de notre plan Back in the Race. Cet accord nous permettra d’avoir des capacités de production au cœur de la région pour réaliser notre ambition d’y vendre un million de véhicules en 2025 » soulignait Carlos Tavares, président du directoire de PSA lors de la signature du contrat, vendredi 19 juin 2015, au Palais royal de Rabat.
Pour Moulay Hafid Elalamy, ministre marocain de l'Industrie, du Commerce, de l'Investissement et de l'Économie numérique, « Cet investissement industriel démontre une nouvelle fois la pertinence de la politique mise en place, qui favorise les investissements des plus grands constructeurs mondiaux, faisant du Maroc le pôle automobile en développement du continent africain, grâce à l’existence d’un véritable écosystème automobile, rassemblant toutes les compétences nécessaires en matière de fabrication, d’ingénierie et de sourcing .»
Opérationnelle en 2019, l'usine nécessitera un investissement de 557 M€ (à 95% porté par PSA et le solde par la Caisse de dépôt et de gestion marocaine) et sa production servira à "accompagner le développement commercial de PSA Peugeot Citroën sur les marchés de la région Afrique-Moyen-Orient" comme le précise le communiqué du constructeur français. Principales cibles, outre le Maroc, la Tunisie, l'Egypte et la Turquie. Certains syndicats craignent que les véhicules de cette usine à bas coûts finissent par arriver en Europe.
Elle s'implantera dans la commune de Ameur Seflia (région de Kénitra) pour assembler des moteurs et des véhicules des segments B (citadines) et C (monospaces compacts). L'usine disposera d'une capacité de 90 000 moteurs et véhicules au démarrage, puis de 200 000 unités à terme.
PSA Peugeot Citroën entend travailler avec la sous-traitance locale. Le constructeur prévoit un taux d'intégration locale de 60% au démarrage puis de 80% à terme.
« L’Afrique et le Moyen-Orient sont des marchés historiques pour PSA et cette région doit devenir un levier d’internationalisation rentable de notre plan Back in the Race. Cet accord nous permettra d’avoir des capacités de production au cœur de la région pour réaliser notre ambition d’y vendre un million de véhicules en 2025 » soulignait Carlos Tavares, président du directoire de PSA lors de la signature du contrat, vendredi 19 juin 2015, au Palais royal de Rabat.
Pour Moulay Hafid Elalamy, ministre marocain de l'Industrie, du Commerce, de l'Investissement et de l'Économie numérique, « Cet investissement industriel démontre une nouvelle fois la pertinence de la politique mise en place, qui favorise les investissements des plus grands constructeurs mondiaux, faisant du Maroc le pôle automobile en développement du continent africain, grâce à l’existence d’un véritable écosystème automobile, rassemblant toutes les compétences nécessaires en matière de fabrication, d’ingénierie et de sourcing .»