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TUNISIE. Le président américain Barack Obama a annoncé, lundi 8 juin 2015 lors du G7, qui se réunit à Château d'Elmau en Bavière (Allemagne), prévoir un plan d'appui pour la Tunisie, le Nigeria et l'Irak.
Quelques minutes avant, Caïd Essebsi, président tunisien, venait d'intervenir sur la pauvreté, le chômage et le déséquilibre régional comme terreau du terrorisme.
Les États-Unis attendent maintenant de la Tunisie une liste de programme susceptibles d'être financés par l'Oncle Sam et concernant le soutien à la lutte contre le terrorisme. Barack Obama s'exprimera sur les projets retenus et les montants alloués lors de la prochaine réunion du G7 à New-York en septembre 2015.
Caïd Essebsi avait été reçu jeudi 21 mai 2015 à Washington par le président américain qui lui avait confié vouloir désigner la Tunisie comme "allié majeur non-membre de l'Otan." Un statut, permettant une coopération militaire renforcée avec les États-Unis, dont ne bénéficient que quinze pays dont seulement deux en Méditerranée, le Maroc et l'Égypte.
Barack Obama s'était également engagé à renforcer l'aide économique. "À ce moment critique de l'Histoire, nous pensons qu'il est très important pour nous de continuer à accroître l'aide économique que nous fournissons afin que les Tunisiens perçoivent les bénéfices concrets de la transition vers une économie plus ouverte et plus compétitive" avait-il notamment indiqué.
Quelques minutes avant, Caïd Essebsi, président tunisien, venait d'intervenir sur la pauvreté, le chômage et le déséquilibre régional comme terreau du terrorisme.
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Barack Obama s'était également engagé à renforcer l'aide économique. "À ce moment critique de l'Histoire, nous pensons qu'il est très important pour nous de continuer à accroître l'aide économique que nous fournissons afin que les Tunisiens perçoivent les bénéfices concrets de la transition vers une économie plus ouverte et plus compétitive" avait-il notamment indiqué.